"C'était terrible" : En larmes, Adriana Karembeu raconte comment, enceinte, elle a cru perdre son bébé lors du tournage d'une émission pour France 2
Adriana Karembeu est l'invitée ce samedi 4 mai 2024 de l'émission "On refait la télé" sur TF1.
Un témoignage choc. Dans une interview diffusée ce samedi 4 mai 2024 à 11h30 sur RTL, Eric Dussart reçoit Adriana Karembeu pour la promotion de son autobiographie "Libre". Au cours de l'entretien, l'ancienne mannequin raconte comment, enceinte, elle a cru perdre son enfant alors qu'elle tournait une émission pour France 2. puremedias.com vous propose de visionner cette séquence en avant-première.
"Je m'écroule par terre"
"C'était horrible... A l'époque, je suis enceinte. Je fais mon test la veille de tournage. C'était le tournage pour 'Les pouvoirs extraordinaires du corps humain' où on partait en Laponie dans le froid. Je suis enceinte de deux, trois semaines", commence Adriana Karembeu, confiant en avoir parlé à la productrice : "Personne d'autre de l'équipe ne savait. Je ne voulais pas qu'une malchance arrive par la suite".
Elle explique qu'elle a dû faire un trajet en moto-neige : "Ca a duré une heure ou deux". "C'était plat. Il n'y avait pas de bosses, ni rien, mais ces petites vibrations de moto-neige... Bref... On arrive à la destination. Il fait -100 degrés. Il fait très froid. Dans une maison. Je vais m'en souvenir toute ma vie", poursuit-elle. Et de lancer : "D'un coup, je commence à saigner. Fin du monde. Je suis aux toilettes. Je saigne, donc je me dis que c'est la fin. Quand on saigne comme ça, c'est qu'on a perdu un bébé. Je m'écroule par terre".
"C'était un truc de fou !"
En larmes en se remémorant cet épisode, Adriana Karembeu ajoute que la productrice s'est aussi effondrée à ses côtés, comprenant la situation : "C'était horrible... C'était fini...". Et de s'accorder quelques secondes pour reprendre ses esprits. "Puis, le lendemain, elle m'emmène chez le médecin. Elle a inventé un truc pour l'équipe. Je vais chez le gynéco et il ne trouve pas le bébé en échographie. Pour moi, c'était la confirmation que c'était fini", confie-t-elle. Et de révéler : "Quand je rentre à Paris, je refais une écho par correction. Je sais ce que je vais entendre. Le gynéco me dit : 'Super, tout va bien, il est bien là'. C'était un truc de fou !".
publié le 3 mai, Florian Guadalupe, Puremédias
