Actus people

"Le corps d'une femme de 50 ans, il est comment ?" : Alexandra Lamy répond en toute franchise à Léa Salamé

Alexandra Lamy sur France Inter. - © Youtube, France Inter

On ne l'avait plus vue depuis un an au cinéma, à l'époque de la sortie de La chambre des merveilles de Lisa Azuelos. Alexandra Lamy est de retour sur grand écran dans un long-métrage signé Edouard Bergeon, intitulé La Promesse verte, dans lequel elle se bat contre des exploitants d'huile de palme responsables de la déforestation et contre les puissants lobbies industriels pour sauver son fils, condamné à mort en Indonésie. Voilà bien longtemps que la comédienne est projetée en salles obscures. Et il semblerait qu'elle le vive toujours de façon très épanouie.

Alexandra Lamy était de passage sur France Inter, le lundi 18 mars 2024, quand Léa Salamé l'a questionnée sur son évolution physique, sur son rapport au corps : "Le corps d'une femme de 50 ans, il est comment ?". "Il faut l'entretenir, explique alors la maman de Chloé Jouannet. C'est pour ça que je dirais aux jeunes de continuer à faire du sport, parce qu'à 50 ans, le corps va changer. Donc c'est bien de continuer à faire du sport. Après moi je me dis, évidemment que la vieillesse on se dit 'Olala, mince', quand on commence à se voir fatigué. Mais je me dis toujours, en fait, on a de la chance de vieillir. Moi j'ai perdu des amis tellement jeunes, qui auraient adoré vieillir. Et donc tous les jours je me dis que j'ai de la chance de vieillir."

Alexandra Lamy, fière d'être célibataireElle a fêté ses 52 ans en octobre dernier et semble vivre cette nouvelle ère de manière complètement décomplexée. D'autant qu'elle le fait seule ! "On fait ce qu'on veut, se réjouit-elle. En plus, moi, je suis célibataire et c'est tellement formidable. On a toujours besoin de vous coller avec quelqu'un dans la vie. Mais je n'ai pas envie. Je n'ai plus envie. Je les ai fait les gratins dauphinois, d'aubergines, le pédiatre... j'ai envie de profiter de moi. Ce n'est pas fini l'amour mais c'est bien de pouvoir l'assumer, parce qu'on veut toujours vous coller avec quelqu'un. Je pense à moi et je suis bien comme ça. Il y a quelques années on avait honte. Maintenant on se dit qu'on a le droit."

publié le 19 mars, Gonzague Lombard , Purepeople

Liens commerciaux