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26 ans après, tout le monde ressort encore cette réplique tirée de cette comédie culte

Retour sur l'une des répliques les plus imparables du "Dîner de cons"...

"Il s'appelle Juste Leblanc", "On vous abattrait sur un champ de course", "Je prends l'accent belge ?", Le Dîner de cons regorge de répliques lancées avec un rythme parfait par Thierry Lhermitte, Jacques Villeret, Francis Huster, Daniel Prevost ou Catherine Frot. Et même 26 ans après la sortie du film, certaines font maintenant partie du langage courant.

Aux commandes de tout ce beau monde, à l'écriture et à la mise en scène, il y a Francis Veber, connu pour ses comédies populaires telles que La Chèvre, Les Fugitifs ou encore Le Jouet. Et l'une de ses répliques est particulièrement restée, et elle commence ainsi :

Il a oublié ma femme... Elle se déroule après environ 30 minutes de film : François Pignon (Villeret) convainc Pierre Brochant (Lhermitte) d'appeler Juste, l'ex-compagnon de sa femme (Huster) pour découvrir si elle est actuellement avec lui. Mais Pignon prend l'accent belge malgré les interdictions de Brochant, et part dans un monologue visant non plus à obtenir la localisation de Christine Brochant mais les droits cinématographiques d'un livre, Le Petit cheval de manège (à murmurer) que Christine et Juste ont écrit ensemble.

En fin de conversation, Pignon parvient à obtenir les droits et raccroche, triomphal, face à un Brochant bouche bée qui lui réplique alors, les yeux écarquillés : "Il a oublié ma femme...", puis ajoute : "Il fait le clown pendant cinq minutes et il oublie ma femme". Ce à quoi Pignon répond un non moins célèbre :

"Ah la boulette !"

Pignon est obligé de rappeler et refait une "boulette" en donnant comme numéro à Juste celui du téléphone de Brochant, dévoilant toute la supercherie, et contraignant Brochant à assumer et passer lui-même le coup de fil. Finalement, bravo François !

Et vous, quelle est votre scène préférée du Dîner de cons ?

(Re)découvrez notre Top 5 des films français dont on ressort le plus souvent les répliques...

publié le 24 mai, Corentin Palanchini, Allociné

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