James Denton blessé : Comment la production de "Danse avec les stars" a adapté (et modifié) la première danse du héros de "Desperate Housewives"
Ce vendredi 8 mars 2024, James Denton fera (enfin) ses premiers pas (de danse !) dans "Danse avec les Stars". Depuis le lancement de la saison 13 du concours de danse le 16 février dernier, l'inoubliable interprète de Mike Delfino dans la série "Desperate Housewives" était vissé sur son siège en raison d'une blessure aux ischio-jambiers. À quelques heures du troisième prime au cours duquel l'acteur américain de 61 ans dansera enfin, TF1 a mis en ligne sur sa plateforme de streaming TF1+ un extrait des entraînements du candidat.
"Aujourd'hui, tendre rapidement ma jambe reste douloureux"
Les internautes ont alors pu découvrir que la production a dû s'adapter à la blessure de l'acteur. Et pour cause, la célébrité doit éviter les danses rapides et dynamiques. "James par rapport à ta blessure, on n'est pas encore prêts pour faire 'Dirty Dancing', parce que c'est une danse assez dynamique ! On va la mettre de côté, on verra ça un petit peu plus tard. On va donc danser sur une rumba contemporaine, un contemporain-rumba, un mixte des deux. C'est une danse que j'affectionne particulièrement. Je suis ravie en tout cas qu'on se lance tous les deux sur le parquet pour la première fois", lui explique sa partenaire Candice Pascal, bien décidée malgré les obstacles à mener James Denton jusqu'au bout de l'aventure.
"Ma blessure nécessite normalement un long temps de récupération donc j'ai alterné entre les médecins, kinésithérapeutes, ostéopathes... qui m'ont dit que je devrais attendre quelques mois avant de réellement guérir. À partir de là, soit j'abandonnais, soit je continuais en suivant l'avis des médecins. Mais oui, je vais fouler le parquet ce vendredi et j'en suis ravi", annonçait-il dans les colonnes du "Parisien" cette semaine avant d'ajouter : "Aujourd'hui, tendre rapidement ma jambe reste douloureux, et le docteur m'a dit que ce le serait jusqu'à cet été. Mais je vais faire sans ces mouvements dans un premier temps."
publié le 8 mars, Benjamin Rabier, Puremédias
