Géraldine Nakache, sa vie dans son "cocon" avec son mari et sa fille de 7 ans qu'elle préserve
Géraldine Nakache est mariée à Jérôme Elie-Betiya depuis l'année 2016. Elle élève, avec lui, une petite fille qui a désormais 7 ans.
Oui, elle est hilarante. Mais pas seulement. Le mercredi 27 mars 2024, Géraldine Nakache est de retour en salles obscures, à l'affiche du film Paternel. Dans ce drame signé Ronan Tronchot, elle interprète Louise, une mère célibataire qui a élevé seule son fils de 11 ans, qu'elle a conçu avec un homme d'Eglise. Aussi discrète soit-elle, on sait que la vie privée de la comédienne est bien moins compliquée.
Elle n'évoque jamais vraiment sa vie de famille, mais il est connu que Géraldine Nakache a épousé son compagnon de longue date, Jérôme Elie-Betiya, le 26 mai 2016. Ils ont eu, ensemble, une petite fille baptisée Sarah en septembre de cette même année. Cet enfant, les tourtereaux l'élèvent dans un "cocon", dans lequel ils vivent paisiblement ensemble. Comme le précise le journal Libération, dans le portrait qu'il accorde à l'actrice dans son édition du 26 mars 2024, on connaît quelques éléments de décor de cette fameuse habitation.
Non, Géraldine Nakache n'est pas du genre à se faire tirer le portrait chez elle, dévoilant ainsi son intérieur. Ce qui se cache entre les quatre murs de son logis ? Un tirage photo de Richard Avedon, "qu'elle adore", "ainsi que d'un paon empaillé, qu'elle s'est offert à son anniversaire". Pour en savoir plus, il faudrait être invité à pénétrer en ses lieux... ce qui n'arrive que très rarement. "J'ai reçu une journaliste du Monde pour un podcast, raconte-t-elle. J'avais acheté des figues, mises sur la table basse. Il me restait des Schoko-Bons, que j'ai hésité à enlever. Des Schoko-Bons pour une fille du Monde, c'est la honte, non ?"
Par ses choix cinématographiques, entre autres, Géraldine Nakache tente peut-être de s'éloigner de cette image de "girl next door", c'est à dire "la fille de la porte d'à côté" qui lui colle à la peau. Pour autant, la meilleure amie de Leïla Bekhti ne voit pas que des inconvénients à cette idée que certains se font d'elle. "Si on y pense, ça sous-entend quand même d'avoir les clés d'une porte, souligne-t-elle. Ma mère vendait des portes blindées. Tu vois, on n'est pas bien loin..."
Retrouvez le portrait de Géraldine Nakache dans le journal Libération du 26 mars 2024.
publié le 27 mars, Gonzague Lombard , Purepeople
