Actus cinéma

Tomer Sisley évoque son planning incertain : Balthazar, Messiah, Largo Winch

Stoppé par la pandémie en plein tournage de la saison 3 de "Balthazar" pour TF1, Tomer Sisley s'est confiné chez lui, à Paris. Mardi 12 mai 2020, il a évoqué la reprise de ses activités de comédien au Figaro.

Pas de bol pour la production de la série TF1 "Balthazar". Après seulement trois jours de tournage à Belle Île, le gouvernement annonçait le confinement de la France entière. Ne pouvant plus exercer temporairement, Tomer Sisley s'est contenté de feuilleter quelques scénarios qui lui étaient proposés, sans aucune conviction sur "la faisabilité des projets" à cause du Covid-19. Lorsque Le Figaro lui demande s'il est impatient de reprendre le chemin du travail, la réponse vient sans aucune hésitation : "Oh oui ! Et ce malgré les nouvelles règles sanitaires qui vont s'imposer sur les tournages. J'ai la chance de pratiquer le métier pour lequel je me suis battu."

Plusieurs gros projets qui attendent de repartir sur les rails

Pourtant, l'agenda de Tomer Sisley subit de nombreux chamboulements et reste encore instable : "Il reste deux semaines de tournage pour la saison 3 de 'Balthazar'. Ensuite, je devais partir à Rome en juin tourner la saison de 'Messiah'. Mais, entre-temps, Netflix l'a annulé. En juillet, j'étais attendu à Boston sur 'Vice', le film catastrophe d'Adam McKay. Ça aussi, c'est mort pour l'instant. Je ne doute pas que le film se fasse, il va juste être reporté. Simplement, je n'ai aucune idée s'ils vont conserver les acteurs européens. Pour l'instant, personne ne peut voyager".

Ce qui est pour l'instant sûr pour le comédien, c'est son planning de septembre : "À la rentrée, je vais tourner une mini-série, un quatre fois 52 minutes avec Julie Gayet. C'est une coproduction franco-allemande. Le scénario m'a plu. Je joue un avocat qui n'a rien d'extravagant, rien de sportif et pas de scène torse nu ni de dérapage contrôlé en voiture. Cela, ce sera pour après". Et cet après, c'est évidemment "Largo Winch 3" !

publié le 13 mai, Elodie Falco

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