La réalisatrice de Barbie va tourner un remake pour Netflix : voilà le meilleur film de la saga Narnia
Découvrez quel est le meilleur long métrage adapté de la saga "Le Monde de Narnia" selon les spectateurs AlloCiné.
Si vous avez grandi avec "Le Monde de Narnia", vous vous êtes sûrement demandé quel était le meilleur des films adaptant la saga littéraire signée C.S. Lewis ? Comme Harry Potter, elle compte sept tomes, dont trois ont été portés à l'écran sous les directions d'Andrew Adamson (Chapitre 1 et 2) et de Michael Apted (Chapitre 3), mais lequel de ces opus cinématographiques est le meilleur selon les spectateurs AlloCiné ?
Avec un score moyen de 3,19 sur 5, c'est Le Monde de Narnia : Chapitre 1 - Le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique qui détient la meilleure note des trois volets de la saga.
Sur le podium, on trouve ensuite - et très proche - le deuxième volet, Le Monde de Narnia : Chapitre 2 - Le Prince Caspian avec 3,14, sorti trois ans après le premier, et enfin le troisième et dernier film à ce jour, Le Monde de Narnia : L'Odyssée du Passeur d'aurore, sorti en 2010 avec une note de 2,99 sur 5. Comme tant d'autres, cette saga pour ados n'a jamais connu de fin, car les résultats décevants au box-office de ce 3e opus ont conduit à l'annulation du projet suivant, qui était pourtant annoncé pour 2013.
En 2019, Netflix avait commandé une minisérie et des films à Matthew Aldrich (co-scénariste de Coco pour Pixar), mais aucune nouvelle n'a été donnée à ce sujet depuis que la plateforme a demandé à Greta Gerwig de signer deux longs métrages destinés à rebooter la franchise. L'autrice de Barbie planche dessus à l'heure de ces lignes.
En juillet dernier, la cinéaste déclarait être "terrifiée" à l'idée de cette adaptation : "Je suis vraiment effrayée, ce qui est un bon début. Je crois que lorsque j'ai peur, c'est bon signe. Peut-être que lorsque d'arrête d'avoir peur, cela signifie qu'il ne faut peut-être pas le faire. Non, je suis terrifiée, c'est extraordinaire. Donc, il faut voir, je ne sais pas."
publié le 8 avril, Corentin Palanchini, Allociné
