"C'est un choix narratif" : Pourquoi Jeremy Lewin (Timothée) est absent du début de la saison 4 de "HPI" sur TF1 ?
"HPI" est de retour sur TF1 avec de nouveaux épisodes dans lesquels le personnage de Timothée est, pour le moment, absent. Explications.
S'il y a bien un personnage absent, en ce début de saison 4 de "HPI", c'est Timothée. Le jeune flic incarné par Jérémy Lewin, qui ne travaille désormais plus aux côtés de Morgane Alvaro (Audrey Fleurot), est aux abonnés absents dans les premiers épisodes de la nouvelle saison de la série de TF1. Un hasard ? Pas si sûr.
Timothée, bien que n'apparaissant pas à l'écran, est pourtant très présent dans la tête du personnage joué par Audrey Fleurot. Et pour cause, il figure en bonne place sur la liste des pères potentiels de l'enfant qu'attend Morgane. L'intrigue de la saison 4 étant principalement centrée sur la grossesse de la consultante.
Timothée, de retour... mais plus tard
Alice Chegaray-Breugnot, scénariste, directrice artistique et directrice de collection de "HPI" explique cette absence, voulue, à puremedias.com : "Il y a beaucoup de personnages, on ne peut pas tous les nourrir à chaque épisode. Ce n'est pas possible. Il vaut mieux faire venir un personnage, lui donner à jouer une vraie intrigue pour quelques épisodes que de l'avoir partout et qu' il soit un peu perdu. Timothée est très présent dans la saison, mais pas au début, aussi parce qu'on voulait marquer la solitude de Morgane avec cet enfant et que Timothée est un personnage que, quand il est là, on aime qu'il soit beaucoup là. On l'a fait venir plus tard. C'est un choix narratif."
"HPI" a signé un retour en fanfare sur TF1 le 16 mai dernier. Le seul inédit de la soirée a été suivi par 7,7 millions de téléspectateurs, ce qui représente 39,5% de l'ensemble du public âgé de 4 ans et plus. Une très belle performance aussi auprès du public des femmes responsables des achats de moins de 50 ans avec une part de marché à 52,3%. Tout simplement le record historique de la série sur cette cible commerciale.
publié le 23 mai, Laura Bruneau, Puremédias
