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Netflix : 48h après sa sortie, ce film captivant s'impose déjà en tête du top et fait chuter "Badland Hunters"

Le long-métrage familial, qui met en scène un petit garçon qui a peur de l'obscurité, fait déjà un carton sur le plateforme de streaming.

Un peu de "Vice-Versa", une touche des "Cinq Légendes", et un zeste d'"Élémentaire". C'est la recette de ce nouveau film d'animation des studios DreamWorks, sorti ce vendredi 2 février sur Netflix. Selon les données du site FlixPatrol, le long-métrage "La nuit d'Orion" est déjà classé numéro 1 des films les plus vus sur la plateforme de streaming à l'heure où nous écrivons ces lignes. Actuellement troisième du classement en France, il est dans notre pays uniquement devancé par le désormais classique "Maman j'ai raté l'avion" et "Une robe pour Mrs. Harris".

Un petit garçon qui a peur... de tout

"La Nuit d'Orion" met en scène Orion, un jeune garçon de 11 ans qui semble mener une vie ordinaire dans une banlieue de classe moyenne américaine. Mais Orion a peur... de tout, ses camarades de classe, les moustiques, les ondes du téléphone, de se faire abandonner par ses parents. Mais son plus grand cauchemar, c'est le noir, si bien qu'a la nuit tombée, toutes ses angoisses remontent à la surface. Un soir, il reçoit la visite inespérée de Noir, un personnage obscur et incarnation de l'obscurité. Celui-ci lui propose alors de l'embarquer dans un tour du monde pour lui prouver que la nuit n'a rien d'effrayant. Le garçon découvre alors les autres personnages qui s'occupent des humains pendant la nuit : Sommeil, Insomnie, Quiétude, Rêverie, et Bruit bizarre, qui fait grincer les meubles et autres objets à la tombée de la nuit.

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Récit sur l'importance d'affronter ses peurs pour découvrir le monde, "La Nuit d'Orion" permet aux petits et grands de réfléchir sur leurs propres angoisses et leurs aprioris. Adapté du roman jeunesse "L'Enfant qui avait peur du noir" d'Emma Yarlett, le scénario est signé Charlie Kaufman, oscarisé pour son travail sur le film "Eternal Sunshine of the Spotless Mind" de Michel Gondry en 2004. C'est également la première réalisation de Sean Charmatz, artiste et directeur de storyboards américain, qui a notamment travaillé sur "Bob l'éponge", et "Dragons 3", également produit par DreamWorks, et dont la série animée est disponible sur Netflix.

publié le 5 février, Puremédias, Puremédias

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