Box-office France : Meilleur démarrage de l'année pour la comédie d'Artus, "Un p'tit truc en plus"
"Un p'tit truc en plus", la comédie réalisée par Artus avec au casting des comédiens handicapés, cartonne au cinéma. À peine sorti, le film enregistre déjà un record.
Gros succès au cinéma pour "Un p'tit truc en plus", le premier film d'Artus en tant que réalisateur. Et la comédie, sortie en salles le 1er mai, n'en est qu'au tout début de son exploitation. Ainsi, pour son premier jour au cinéma, le long-métrage, sorti sur 455 copies, engrange 279.635 entrées (dont 26.944 lors de séances en avant-première). Il s'agit du meilleur démarrage pour 2024 à ce jour, devant les étrangers "Dune deuxième partie", "Kung Fu Panda 4", "Bob Marley : One Love" et la comédie avec Kev Adams, "Maison de Retraite 2".
Le meilleure démarrage pour un film français depuis "Asterix et Obelix"
Mieux encore. "Un p'tit truc en plus", film au budget de 6,71 millions d'euros, avec Artus, Clovis Cornillac, Alice Belaïdi et les comédiens handicapés mentaux Ludovic Boul et Arnaud Toupense, devient ainsi le film français à la meilleure première journée depuis "Astérix et Obélix : l'Empire du milieu", film de Guillaume Canet sorti le 1er février 2023.
Dans le détail, pour sa première journée d'exploitation, "Un p'tit truc en plus" est vu par 16.523 personnes à Paris. A l'échelle de la France, le film se place ainsi devant les autres grosses sorties du 1er mai, le blockbuster américain "The Fall Guy" avec Ryan Gosling et "Le tableau volé" avec Alex Lutz. Dans la capitale, "The Fall Guy" attire, en premier jour, plus de spectateurs que le film d'Artus.
Ces derniers jours, Artus, entouré de ses comédiens, avaient fait la promotion de leur film dans les médias. On a notamment pu les voir dans le talk-show "Quotidien" sur TMC ou encore dans "La boîte à questions" de Canal+. Artus s'est aussi rendu sur le plateau de "Quelle époque !" sur France 2 où Léa Salamé lui avait dit qu'il était "devenu chiant" depuis qu'il avait arrêté de boire de l'alcool.
publié le 3 mai, Laura Bruneau, Puremédias
