"Un concept dingue" : cette série n'est pas encore sortie sur Netflix, mais elle retourne déjà le cerveau des abonnés
Bande-annonce d'Adolescence - © Vidéo et image : Netflix
La date est connue : le 14 mars 2025, Netflix va retourner le cerveau de ses abonnés avec une nouvelle mini-série aussi folle qu'intense. Son titre ? Adolescence.
Après avoir remporté les Emmy Awards de la meilleure mini-série en 2023 avec la terriblement drôle Acharnés, puis en 2024 avec la désormais incontournable Mon petit renne, Netflix se positionne déjà pour repartir avec la prestigieuse récompense en 2026. Le 13 mars 2025, la plateforme de streaming proposera en effet Adolescence, une production qui ne laissera personne indifférent.
Une série qui va choquer tout le mondeCréée par Jack Thorne (scénariste sur les films Wonder, Enola Holmes 1 & 2 ou les séries Shameless, Skins ou encore His Dark Materials), Adolescence - qui sera composée de quatre épisodes, suivra le bouleversement d'une petite ville anglaise alors qu'un adolescent de 13 ans sera arrêté par la police, suspecté du meurtre d'une camarade de classe après s'être laissé influencer par des idées machistes et toxiques.
Et la particularité de cette série, c'est qu'en plus d'être portée par un casting d'exception (Stephen Graham, Ashley Walters, Faye Marsay) qui nous promet des performances bluffantes (le jeune Jamie Miller s'annonce déjà comme la grande révélation de l'année), Adolescence possèdera un concept hors normes. L'intrigue sera effectivement racontée en continu avec la mise en place d'un faux plan-séquence immersif à chaque épisode.
"Ça s'annonce intense"Ce concept, que l'on a récemment pu voir au cinéma dans le film The Chef ou même dans l'un des épisodes de la saison 2 de la série Monstres, permettra de faire ressortir toute la tension liée aux enjeux et d'instaurer une ambiance irrespirable à l'ensemble. Un parti pris créatif prometteur qui passionne déjà le public, plus hypé que jamais par ce projet.
"Ca m'a l'air d'être un concept dingue", peut-on lire sur Twitter aujourd'hui, tout comme, "J'aime déjà la série", "Je veux déjà voir un making-of concernant les défis techniques imposés par ce tournage", ou encore, "Wow, ça s'annonce intense. J'ai hâte de voir comment ils vont explorer un sujet aussi lourd".
Reste désormais à espérer que le résultat final sera à la hauteur des promesses, mais au regard de la bande-annonce (disponible dans notre diaporama), on ne se fait aucun souci.
publié le 25 février, Quentin Piton , Purebreak
