"Tout le monde était cramé..." : Zach Braff a eu beaucoup de mal à finir les neuf saisons de la série Scrubs
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S'il a connu la gloire avec "Scrubs", l'acteur américain Zach Braff a récemment déclaré s'être senti "épuisé" lorsque la série médicale a pris fin au bout de neuf saisons. Il s'explique.
Entre 2001 et 2010, Zach Braff rencontre un gros succès avec Scrubs, une série médicale créée par Bill Lawrence dans laquelle il incarne le docteur John "J.D." Dorian, interne à l'hôpital du Sacré-Cœur, confronté quotidiennement à des situations des plus loufoques.
Neuf années durant lesquelles l'acteur américain s'est donné à fond et dont il est ressorti totalement lessivé, ainsi qu'il l'a récemment avoué lors du podcast Inside of You de Michael Rosenbaum.
"Lorsque la neuvième et dernière saison de Scrubs s'est terminée, nous étions tous épuisés", déclare Zach Braff, qui pourrait pourtant bientôt retrouver son personnage.
"J'avais l'impression que nous commencions à nous répéter en terme de blagues. Tout le monde était cramé... On faisait des heures de folie, des horaires que plus personne ne fait aujourd'hui. Nous n'avions pas vraiment de vie en dehors de la série."
"Des fous rires au quotidien" pour Zach Braff
Même s'il est donc sorti complètement "épuisé" par les neuf saisons de la très populaire série Scrubs, nommée 19 fois aux Emmy Awards (avec deux récompenses à la clé), Zach Braff garde néanmoins un excellent souvenir de cette expérience qui a changé sa vie.
"Rigoler tous les jours, ce qui était le cas avec Scrubs, me manque", conclut l'acteur de 49 ans, toujours dans le podcast Inside of You. "Mon boulot, c'était d'avoir des fous rires au quotidien."
Des rires partagés avec le public, comme s'en félicitait Bill Lawrence au micro de Variety. "La passion des gens pour Scrubs me fascine", déclarait le créateur du show. "Elle n'a jamais cessé, je suis vraiment reconnaissant de tout ça."
Zach Braff a récemment réalisé le long métrage "A Good Person", avec Florence Pugh et Morgan Freeman, disponible sur MyCanal :
publié le 16 septembre, Clément Cuyer, Allociné