La Reine Charlotte sur Netflix : un acteur a été ajouté grâce à des effets spéciaux et vous ne pouvez pas le déceler !
L'actrice Connie Jenkins-Greig, qui incarne la version jeune de Violet Briderton dans "La Reine Charlotte", a révélé une information étonnante sur les coulisses de la série Netflix. Explications.
Sortie le 4 mai dernier sur Netflix, La Reine Charlotte, série dérivée de La Chronique des Bridgerton, a rencontré un beau succès sur la plateforme. Sur les réseaux sociaux, les stars du programme continuent de partager quelques souvenirs du tournage et l'un des plus intéressants provient de Connie Jenkins-Greig qui incarne la version jeune de Violet Bridgerton.
Sur , à travers déjà visionnée par près de trois millions de personnes, la jeune comédienne révèle que Keir Charles, qui interprète son père, Lord Ledger, a tourné certaines scènes à part avant d'être rajouté à l'écran grâce à des effets spéciaux.
La raison ? L'acteur avait contracté le Covid au cours du tournage. "Quand ton père à l'écran n'était pas vraiment présent (à cause du Covid) et qu'on a dû le rajouter grâce à des écrans verts après", écrit la comédienne sous sa vidéo. Assis sur une chaise en costume, seul, entouré d'un écran vert, l'acteur a été par la suite incrusté dans une séquence de la série. Le résultat est invisible à l'oeil nu.
Ce n'est pas la première fois qu'une série Netflix fait appel à la technologie pour contourner la distance et l'insolement imposées par la pandémie. Pour la saison 4 de Stranger Things, Dacre Montgomery - Billy dans la série - avait tourné une petite séquence en Australie avant d'être intégré dans le montage final aux côtés des autres acteurs.
Plus récemment encore, au cinéma cette fois, le film Love Again avec Priyanka Chopra Jones et Sam Heughan a utilisé cette méthode. La chanteuse Céline Dion, qui joue son propre rôle, a tourné toutes ses scènes à part aux États-Unis, tandis que le tournage se poursuivait parallèlement à Londres.
La Reine Charlotte : un chapitre Bridgerton est disponible sur Netflix.
publié le 6 juin, Thomas Desroches, Allociné
