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Demain nous appartient : préparez vos mouchoirs, le couple le plus emblématique de la série va se séparer, "Tu mérites un homme qui..."

Comme quoi, ça ne sert à rien de se crier "bonne année" un 1er janvier. Alors que 2024 vient à peine de débuter, les scénaristes de Demain nous appartient s'apprêtent déjà à mettre fin à l'un des couples les plus emblématiques de la série de TF1. Préparez votre coeur, c'est la relation entre Charlie et François qui devrait être ponctuée d'une rupture dans les prochains épisodes.

Après avoir vu François la tromper avec Soizic, Charlie a finalement accepté de lui pardonner cet écart (notamment causé par un drame auquel il avait échappé de justesse), à la condition... de la suivre à l'autre bout du monde. Et pour cause, cette sortie de route amoureuse a convaincu l'héroïne qu'il était temps pour elle de reprendre sa vie en main et d'en débuter un nouveau chapitre au Canada.

François ne croit plus en son couple avec Charlie

Or, là où le personnage d'Emmanuel Moire semblait initialement partant pour cette aventure, les derniers épisodes ont finalement laissé entendre qu'il n'était pas aussi motivé qu'elle à l'idée de quitter Sète et leurs proches. Et malheureusement, si l'on se fie à un extrait inédit de l'épisode 1595 de Demain nous appartient, cette divergence devrait mettre fin aux espoirs d'une happy ending pour ce couple.

Tandis que les deux héros se retrouvent sur la plage afin de discuter de l'état de leur relation après la découverte du mensonge de Charlie au sujet de sa fausse grossesse, François se décide enfin à être franc pour ne plus faire souffrir sa compagne. "Ça fait des semaines que je suis là à t'écouter faire des projets et moi, je ne dis rien, révèle-t-il d'un air grave. Je n'ai pas le courage de te dire ce que je ressens, de ce qui me fait envie ou pas". Et d'ajouter, "Je voulais te protéger et j'ai fait tout l'inverse".

"Tu mérites un homme qui pleure de joie quand tu lui dis que tu es enceinte"

Bien qu'il ne regrette en rien cette histoire et assure aimer Charlie, "Je t'aime et ça je le sais au plus profond de moi", François est persuadé que tous les deux ne sont plus vraiment sur le même chemin aujourd'hui. "Quand tu m'as dit qu'on allait avoir un enfant, Je ne sais pas... (...) Tu n'en veux peut-être pas maintenant, mais un jour ce sera surement différent, déplore-t-il, impuissant. Tu mérites un homme qui pleure de joie quand tu lui dis que tu es enceinte de lui. Rien d'autre."

A cet effet, l'enseignant en profite alors pour sortir LA carte qui pesait au-dessus de leurs têtes depuis le début de leur histoire : leur différence d'âges. "Tu es jeune. Tu as envie de vivre tes expériences, de changer de vie, de découvrir plein de choses, souffle-t-il à regret. Moi j'ai ma vie ici. J'aime mon travail. J'aime pouvoir voir Adam quand je veux". Une façon de lui faire comprendre que le timing de leur relation n'a jamais été le bon et qu'à l'heure actuelle, celle-ci est vouée à l'échec.

La fin d'une histoire dans les larmes

Une confidence qui bouleverse logiquement Charlie, "Et donc... tu me quittes là ?", au point de la voir proposer une pause dans leurs projets afin de sauver leur couple, "Je peux comprendre. On peut peut-être se laisser du temps et repousser le Canada". Malheureusement, François a longuement réfléchi à la situation et ne souhaite pas voir la jeune femme se priver de son bonheur personnel pour un autre bonheur fantasmé qui n'aurait pas / plus sa place ici.

"Tu fais exactement comme moi. Tu t'oublies pour me faire plaisir. Je n'ai pas envie de ça, révèle ainsi François, la gorge serrée, à une Charlie désemparée. Je ne veux pas être un poids pour toi. Et je ne veux pas qu'un jour, tu me reproches de ne pas vouloir d'enfant. Je ne veux pas qu'on reste ici et que tu sois malheureuse".

De quoi faire dire ironiquement à Charlie, "Et bah je suis malheureuse, tu vois...", et mettre officiellement fin à cette histoire. Reste désormais à savoir si cette rupture sera définitive ou non, mais quand on sait que Clémence Lassalas a prévu de quitter (au moins temporairement) Demain nous appartient, on n'imagine pas de retrouvailles avant plusieurs mois / années...

publié le 3 janvier, Quentin Piton, Purebreak

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