Dans le prochain épisode de "Demain nous appartient"... Tandis que Manon se retrouve au cœur d'un braquage, Romy et Karim font la paix. Bart joue quant à lui les modèles pour Adèle.

Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l'épisode de Demain nous appartient diffusé demain soir sur TF1 ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !

Mercredi 8 mars dans Demain nous appartient...

MANON SE RETROUVE AU COEUR D'UN BRAQUAGE

Chez les Curtis, Étienne se confie à Dorian et Bénédicte sur son passé de cambrioleur et sur le chantage exercé par Alexis. Lors d'un cambriolage, Étienne a été obligé de menacer un homme avec une arme et ce dernier est mort par sa faute d'une crise cardiaque. Depuis, il a tout fait pour se racheter mais cela le poursuit. Tandis que Bénédicte tente de le convaincre de ne pas faire ce nouveau braquage, Étienne répond qu'il n'a pas le choix. S'il ne le fait pas, Dorian ira en prison.

Plus tard, Dorian discute avec Camille dans la cour du lycée lorsqu'il aperçoit son père quitter l'établissement pour rejoindre Alexis. Sans attendre, il va à sa rencontre et le supplie de ne pas participer au casse. Étienne a beau lui demander de lui faire confiance, Dorian, qui est en colère, empoigne violemment Alexis puis le somme de laisser son père tranquille. Après être intervenu, Étienne prie son fils de retourner au lycée avant de lui promettre que toute cette histoire sera terminée ce soir. Comme Dorian a peur que ce braquage tourne mal, Étienne jure que tout ira bien.

Par la suite, Alexis et Étienne se rendent à quelques pas de la bijouterie. Ils croisent alors madame Nouria, la propriétaire du voilier amarré à côté de celui d'Etienne, qui lui reproche de ne pas avoir répondu aux mails qu'elle lui a envoyés. Agacé, Étienne l'envoie méchamment balader. Tandis que le ton monte, Alexis promet à madame Nouria de passer dans l'après-midi à la marina pour s'occuper des pare-battages.

Peu après, Étienne et Alexis pénètrent dans la bijouterie. Cagoulés et armés, ils menacent immédiatement les employés. Pendant qu'Étienne s'empare du contenu du coffre, Alexis force quant à lui un vendeur à mettre les bijoux de la vitrine dans un sac.

A quelques pas de là, Nordine veut faire un cadeau à Manon pour fêter son affectation au commissariat de Sète. Et celui-ci a jeté son dévolu sur un pendentif plutôt sympa dans la bijouterie au bout de la rue. Tandis qu'il avait l'intention d'accompagner sa copine pour lui montrer le bijou en question, Nordine reçoit un appel de son père et doit malheureusement aller au commissariat. Il enjoint donc Manon à se rendre seule au magasin pour regarder les pendentifs.

Quelques instants après, Manon entre dans la bijouterie sans se douter de ce qui se trame à l'intérieur. A peine franchit-elle la porte de l'établissement qu'Alexis l'attrape brutalement par le col en la mettant en joue. Au moment où Etienne voit sa nièce, il ne peut s'empêcher de crier son prénom puis ordonne à son complice de la relâcher sur le champ. Malgré le danger, Manon prend son courage à deux mains et profite de l'inattention de son assaillant pour le désarmer puis prendre la fuite. A terre, Alexis se relève rapidement et veut se mettre à sa poursuite. Seulement, Étienne ne lui en laisse pas le temps et lui tire une balle dans la jambe.

Une fois qu'il lui est venu en aide, Étienne accompagne Alexis jusqu'à la voiture. Manon, qui est caché à proximité, reconnaît alors son oncle ...

ROMY ET KARIM FONT LA PAIX

Dans la matinée, Romy croise Victor à la terrasse d'un café l'air préoccupé. Victor lui apprend alors que Timothée a été blessé par balle lors d'un cambriolage. Au cours de leur discussion, il évoque aussi la mort de sa fille Lola ainsi que le deuil qu'il n'a jamais pu surmonter. Touchée, Romy déclare qu'elle est là pour lui s'il a besoin de quoi que ce soit.

Peu après, Romy se rend à l'hôpital et fait la connaissance de Timothée. Bien qu'il ne l'ait jamais vue, le jeune homme comprend rapidement que Romy est la femme dont son père est tombé amoureux. Toutefois, elle n'a pas le temps de répondre puisque Victor arrive avec le déjeuner de son fils. Mal à l'aise, Romy indique être venue prendre des nouvelles.

En réalité, elle est aussi venue pour apporter à manger à Victor. Reconnaissant, Victor lui dit que cela lui fait du bien d'avoir une amie comme elle et ce d'autant plus qu'il n'en a pas beaucoup ces derniers temps.

En fin de journée, Karim rejoint Romy au Spoon et lui présente ses excuses pour avoir été trop loin avec Victor. Compréhensive, Romy rétorque qu'elle sait pertinemment qu'il a fait cela pour la protéger. Étant elle aussi allée loin dans ses propos, elle précise qu'elle ne supporte plus qu'on essaie de la contrôler. Une fois qu'il a garanti que ce n'était pas son intention, Karim ajoute qu'il la considère comme sa sœur. Même s'il est parfois trop protecteur, Romy se dit cependant très chanceuse de l'avoir dans sa vie. Pour sa part, Karim promet de faire attention à l'avenir.

BART JOUE LES MODÈLES POUR ADÈLE

Adèle est contrariée car un galeriste l'a contactée pour exposer l'une de ses toiles. Un véritable tremplin pour sa carrière. Le problème, c'est que la jeune femme n'a pas encore commencé son travail car elle n'a pas de modèle pour peindre sur le thème de « la vulnérabilité chez les hommes ». Comme elle n'a pas les moyens d'engager un professionnel, Adèle prie Bart de poser pour elle. Ce qu'il finit par accepter.

Certain qu'Adèle cherche un modèle pour poser nu, Bart craint qu'elle ne le trouve pas assez beau et affûté pour l'exercice. C'est pourquoi, il sollicite plutôt Damien. Toutefois, le policier n'a aucune envie de rester nu et immobile sur une chaise pendant des heures.

Nerveux, Bart se rend donc chez Adèle et profite qu'elle s'éloigne pour répondre au téléphone pour se déshabiller complètement. Lorsqu'elle revient et le voit entièrement dévêtu, Adèle se met à rire. Et pour cause, elle a simplement besoin d'un modèle. Il n'a jamais été question de nu...

Si Bart a eu la honte de sa vie, Adèle tente malgré tout de détendre l'atmosphère puis se met au travail.