Cette star de Big Bang Theory a réclamé un changement et l'a regretté ensuite
Découvrez quelle interprète de "The Big Bang Theory" a régulièrement demandé que son personnage subisse une transformation... avant de le regretter.
The Big Bang Theory est terminée depuis maintenant 4 ans, mais les acteurs n'ont pas fini de parler de leurs personnages, qui ont durablement marqué les téléspectateurs.
Celui d'Amy, doctoresse en neurosciences et compagne de Sheldon, a longtemps été présenté comme ayant un style vestimentaire très classique, un peu daté et ne la mettant pas forcément en valeur. Son interprète Mayim Bialik a pourtant longtemps demandé aux scénaristes de changer cela. Elle trépignait à l'idée qu'Amy puisse changer d'apparence, comme elle l'avait confié à en 2017 :
"Pendant des années, c'est la seule chose que j'ai réclamée, et personne ne semblait s'en soucier, mais je vais continuer d'en parler en interviews : ils n'ont jamais fait un épisode de vilain petit canard où Amy se fait faire entièrement les cheveux et le maquillage."
Cinq ans plus tard, elle note cependant dans l'ouvrage consacré à la série, The Big Bang Theory: The Definitive, Inside Story of the Epic Hit Series (sorti en octobre 2022), qu'elle n'était pas ravie lorsque le jour de ce relooking est enfin venu :
Nous n'étions pas devenus fous en la faisant s'habiller d'une manière qui ne lui ressemblerait pas... mais c'était quelque chose avec lequel j'étais en désaccord. J'ai pensé que nous ferions [un épisode] : 'Habillons Amy et sortons-la pour la nuit !' Je ne pensais pas que cela deviendrait son nouveau look. Ce relooking est finalement devenu l'apparence définitive du personnage d'Amy Farrah Fowler et ce jusqu'à la fin de la série. Un choix que regrette son interprète.
La série n'en reste pas moins l'un des plus gros succès de l'histoire de la télévision, diffusé de 2007 à 2019. Si vous aimez Mayim Bialik, elle tient actuellement le premier rôle de la comédie Call Me Kat, l'histoire d'une femme qui décide d'ouvrir un bar à chats pour éviter d'avoir à se marier.
publié le 31 janvier, Corentin Palanchini, Allociné
