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Vincent Lacoste ne comprenait rien aux dialogues de Première année

Pour la sortie de "Première année", Vincent Lacoste s'est confié à Première à propos des dialogues "hyper techniques" que William Lebghil et lui ont dû apprendre.

Quatre ans après "Hippocrate", film qui lui a valu d'être nominé pour un César du Meilleur acteur, Vincent Lacoste a retrouvé Thomas Lilti pour un autre film consacré à la médecine : "Première année". Pas étonnant quand on sait que le réalisateur est également médecin généraliste. Mais cette fois-ci, c'est le quotidien des étudiants en première année qu'il a décidé de filmer. Un monde totalement inconnu pour Vincent Lacoste, qui a confié à TéléStar qu'il avait arrêté ses études au bac et qu'il était de toute façon "vraiment trop mauvais dans les matières scientifiques" pour vouloir un jour devenir médecin.

Apprendre sans comprendre

Dans "Première année", Vincent Lacoste incarne un triplant, soit un élève qui tente de passer le concours pour la 3e fois. Et pour mieux se glisser dans ce rôle, il est allé à la rencontre de véritables étudiants avec William Lebghil, qui incarne un fils de médecin qui veut marcher dans les pas de son père. "Ils nous ont raconté leurs expériences et ensuite on a travaillé", a expliqué Vincent Lacoste à Première. Il poursuit : "On avait des textes pas évidents à apprendre parce qu'on ne comprenait absolument rien."

"C'était des dialogues hyper techniques, donc on apprenait mais on ne comprenait rien à ce qu'on disait", continue-t-il. Et de conclure : "On oubliait le dialogue instantanément, on le disait, on l'oubliait." Cet hiver, on retrouvera Vincent Lacoste dans "Amanda" de Mikhaël Hers, puis dans "Deux fils" en février 2019, film dans lequel il donnera la réplique à Benoît Poelvoorde.

publié le 13 septembre, Solène Filly

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