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"Une histoire toute simple et bouleversante" : noté 4 sur 5, c'est le film à voir absolument cette semaine !

Sorti cette semaine, le documentaire "La Machine à écrire et autres sources de tracas" de Nicolas Philibert affiche une moyenne presse de 4 sur 5.

Après Sur l'Adamant et Averroès & Rosa Parks, le triptyque documentaire de Nicolas Philibert se termine avec La Machine à écrire et autres sources de tracas. Sorti cette semaine en salles, le long métrage a été très bien accueilli par la presse présente sur AlloCiné, puisque sa moyenne est de 4 sur 5 (pour 20 supports).

De quoi ça parle ?

Dernier volet du triptyque initié avec Sur l'Adamant puis Averroès & Rosa Parks, le film poursuit sa plongée au sein du pôle psychiatrique Paris centre. Ici, le cinéaste accompagne des soignants bricoleurs au domicile de quelques patients soudain démunis face à un problème domestique, un appareil en panne, etc...

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Ce qu'en pense la presse :

Selon Bande à part :

"Ce troisième volet vient apporter une note intime, touchante et encore plus humaniste (si c'est possible !) que les deux précédents." (Isabelle Danel) 4/5

Selon Cahiers du Cinéma :

"L'aboutissement de la démarche de Nicolas Philibert, bien plus qu'une clausule ou un épilogue. Après l'imaginaire et le symbolique, voilà abordée la dimension du réel." (Jean-Marie Samocki) 4/5

Selon L'Obs :

"Touchant. Chacun à leur façon, ces trois documentaires approchent la nécessité et la difficulté de réparer les vivants." (Isabelle Danel) 4/5

Selon Le Figaro :

"Le réalisateur français boucle sa trilogie sur la psychiatrie. Et prouve qu'il sait écouter patients et soignants." (Etienne Sorin) 4/5

Au cinéma le 17 avril, ce sont les films à voir : Civil War, Monkey Man, Ici et là-bas avec Ahmed Sylla...

Selon Le Point :

"Drôle, léger, profond." (La Rédaction) 4/5

Selon Les Fiches du Cinéma :

"Dans le dernier volet de son triptyque sur les soins psychiatriques, N. Philibert se laisse aller à une approche plus dépouillée, presque artisanale. Un choix formel qui lui permet, paradoxalement, de déployer un peu plus une ambition documentaire peu commune." (Simon Hoareau) 4/5

Selon Les Inrockuptibles :

"Philibert s'intéresse à la vie quotidienne, aux "tracas" que sont les objets, les machines, les instruments, les outils, quand ceux-ci tombent en panne et qu'ils bouleversent sans le vouloir la vie de tout un chacun." (Jean-Baptiste Morain) 4/5

Selon Ouest France :

"Un sommet d'humanité et d'espièglerie mêlées." (La Rédaction) 4/5

publié le 21 avril, Laurent Schenck, Allociné

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