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The Predator : Shane Black confirme la classification R

Des Predators dans

© 20th Century Fox, DR

Fans de la franchise Predator, n'ayez crainte, le reboot piloté par Shane Black sera bien aussi violent que le film original, sorti en 1987. Le réalisateur l'a une nouvelle fois confirmé en affirmant que son long-métrage serait classé R, soit interdit aux moins de 17 ans non accompagnés d'un adulte aux États-Unis.

Si la violence ne garantit pas un bon film, il est vrai que beaucoup de productions d'horreur, d'action ou de science-fiction sont à leur meilleur niveau quand leurs metteurs en scène ont toute la liberté qu'ils désirent quant au degré de violence. La saga Predator initiée par John McTiernan ne fait d'ailleurs pas exception, ses épisodes les plus réussis étant les plus gores. Le dernier opus en date, "Predators", sorti en 2010, était ainsi classé R et avait reçu majoritairement des critiques positives.

Rien d'étonnant donc à ce que le reboot de Shane Black suive la même voie que ses prédécesseurs, pour le plus grand plaisir des fans. Rappelons, d'autre part, que le long-métrage prendra pour la première fois place dans une banlieue pavillonnaire et que ses héros devront faire face à plusieurs créatures extraterrestres, et non pas un seul monstre isolé comme c'était le cas dans les autres volets. Côté distribution, Black a engagé Boyd Holbrook pour tenir le rôle principal du film tandis que Sterling K. Brown, Olivia Munn, Trevante Rhodes ou encore la révélation de "Room" Jacob Tremblay camperont des personnages secondaires.

Premier coup de clap imminent

Si l'on en croit des récentes déclarations d'Holbrook mais aussi un tweet du cinéaste, les prises de vue de "The Predator" devraient débuter cette semaine. Peut-être aurons nous donc bientôt droit aux premières images en direct du tournage ! C'est également sur Twitter que Shane Black a confirmé la classification R du long-métrage.

"Et, juste pour être clair... La classification PG-13 (déconseillé aux moins de 13 ans, ndlr) c'est pour les gonzesses. Les colonnes vertébrales saignent... beaucoup", a-t-il ainsi écrit dans un langage peu châtié sur le réseau social à l'oiseau bleu. Nous voilà prévenus !

publié le 20 février, Marine de Guilhermier

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