Actus cinéma

Sandrine Quétier : héroïne d'une fiction sur France 3

L'ancienne animatrice de TF1 vit, désormais, ouvertement sa passion pour la comédie. Elle sera, samedi 15 février 2020 sur France 3, dans le téléfilm policier "Meurtres dans le Jura". Un premier grand rôle pour Sandrine Quétier, qui s'est rendue à Sud Radio pour en parler.

Sandrine Quétier vit une seconde vie, et sûrement sa meilleure. Pendant 18 ans, elle a été animatrice télé, passant de M6 à France Télévisions avant de devenir l'une des stars de TF1. Passionnée par la chanson et la comédie, elle a décidé en 2017 de se consacrer aux choses qui l'a font vibrer. "Je ne voyais pas d'autres options que de complètement arrêter, puis j'étais arrivée au bout, dans le divertissement. Je me suis toujours dit que je partirais quand je serais en haut, pour justement ne pas avoir à descendre", a-t-elle déclaré au micro de Sud Radio.

À l'affiche de "Meurtres dans le Jura", samedi 15 février sur France 3, l'ancienne animatrice incarne pour la première fois un rôle principal. Beaucoup d'animateurs tentent aujourd'hui leur chance dans la fiction sans pour autant s'y atteler à plein temps. Sandrine Quétier, qui y consacre désormais ses journées, a été accueillie dans le milieu avec "curiosité au début et bienveillance". La comédienne en herbe a aussi déclaré : "Je ne demande qu'à faire mes preuves, à passer des castings et être jugée sur pièce."

Sa première scène érotique

Après ses apparitions dans "Crimes parfaits" et "Commissaire Magellan", on lui a confié le rôle principal d'un des téléfilms de la collection "Meurtres à..." qui se déroule, à chaque épisode, dans une ville et une région française différente. Si son personnage est "un peu rugueux, abrupte" ("C'est une femme qui a été blessée dans la vie et qui s'est forgée une carapace"), il l'a tout de même conduit à jouer une scène érotique avec son partenaire à l'écran Pierre-Yves Bon.

Alors que tourner de telles scènes peut être compliqué pour certaines, Sandrine Quétier l'a plutôt bien vécu, malgré une forte chaleur : "Ce n'est que de la fiction, et comme je m'entend bien avec Pierre-Yves, on l'a dédramatiser avant, on en riait. On a tourné en juin, il faisait 40 degrés, donc d'un coup c'est beaucoup moins érotique."

publié le 14 février, Mégane Bellée

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