Actus cinéma

Sandrine Quétier actrice, sa fille se confie sur sa reconversion

Après M6 et France Télévisions, Sandrine Quétier a exercé son métier d'animatrice sur TF1 pendant 13 ans. Si elle a quitté la chaîne en 2017, c'est pour se consacrer à sa passion de toujours, la comédie. Une reconversion racontée par sa fille Lola Michelin dans 50' inside, samedi 14 décembre 2019.

Stéphane Bern, Michel Cymes, Laurence Boccolini, de plus en plus d'animateurs télé se tournent vers la comédie. À l'instar de Sandrine Quétier qui a quitté TF1 en 2017 pour jouer au théâtre. Avant cela, elle a co-présenté pendant 11 ans 50' inside aux côtés de Nikos Aliagas. C'est dans cette même émission que sa fille Lola Michelin, rarement affichée dans les médias, a raconté la reconversion professionnelle de sa mère.

"Elle quitte tout, elle se lance, elle vit ses rêves"

Face caméra, Lola Michelin n'a pas hésité à soutenir le changement de carrière de sa mère : "Le fait qu'elle décide de devenir comédienne, je le sentais déjà venir. Après, le fait que ça se fasse aussi radicalement, du jour au lendemain, j'ai trouvé ça génial, super drôle ! Elle quitte tout, elle se lance, elle vit ses rêves... Je vois qu'elle ne fait pas que ça en fonction de l'argent, et qu'elle fait ce métier en fonction de ce qu'elle aime ! Qu'elle profite !"

Sandrine Quétier a joué son premier grand rôle en 2018 dans "Commissaire Magellan" sur France 3. En octobre dernier, elle était présente sur le tournage de "Camping Paradis" où elle a fait une apparition aux côtés de Laurent Ournac. Si ce changement de métier la rend heureuse, Sandrine Quétier est tout de même consciente que cela ne sera pas facile pour les spectateurs habitués à la voir animatrice. D'après ses dires, une partie du public pensera : "'Encore une animatrice qui veut être chanteuse ou comédienne', c'est inéluctable, et après je me dis, c'est pas grave d'être attendue au tournant, parce que c'est à moi de faire mes preuves finalement !" Mais elle pourra toujours compter sur le soutien de sa fille.

publié le 18 décembre, Mégane Bellée

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