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Peter Sarsgaard remplace Jason Momoa dans le remake des Sept Mercenaires

Peter Sarsgaard

© Abaca

Prévu en salles pour janvier 2017, le remake des Sept Mercenaires par Antoine Fuqua connaît un changement de casting. Alors que Jason Momoa était attendu dans le rôle du méchant Bartholomew Bogue, il a finalement refusé la partition, arguant qu'il n'avait "pas assez de choses à dire comme à faire" avec ce personnage, selon Deadline. C'est finalement Peter Sarsgaard qui endossera le rôle de bad guy dans le film.

Loin du Mexicain incarné par Eli Wallach dans le film original, Peter Sarsgaard se glissera dans la peau de Bartholomew Bogue, un pillard et meurtrier à la tête d'une bande pourchassée par un groupe de mercenaires (les fameux sept comparses). Alors que l'acteur tournait récemment dans le Lady Grey d'Alain Choquart, il devrait endosser son nouveau rôle dès le mois de mai prochain, quand débutera le tournage du remake des Sept Mercenaires.

Peter Sarsgaard rejoint un casting de choix : il jouera face à Denzel Washington, Chris Pratt, Ethan Hawke, Luke Grimes, Wagner Moura and Vincent D'Onofrio. Le comédien sud-coréen Byung-hun Lee, que l'on pourra voir dans Terminator Genisys cet été, fait également partie de la troupe.

Ce remake des Sept Mercenaires voit le jour plus de cinquante ans après le film de John Sturges : en 1960, ce dernier mettait en scène Steve McQueen et Yul Brynner dans un western adapté du film Les Sept Samouraïs d'Akira Kurosawa sorti en 1954. Le remake que prépare Antoine Fuqua aura pour scénaristes Nic Pizzolatto, qui a officié sur la série True Detective, et John Lee Hancock, qui a travaillé sur le scénario de The Blind Side pour lequel Sandra Bullock avait remporté l'Oscar de la meilleure actrice, entre autres prix.

Dans le film de John Sturges, les habitants d'un village mexicain, victimes de bandits, passaient la frontière pour recruter un Américain, très bon tireur. Avec lui, ils recrutaient six autres mercenaires, chacun ayant ses motivations propres, afin de se débarrasser des bandits.

publié le 21 mai, Camille Inglebert

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