Actus cinéma

Marion Cotillard pleure devant un film surprenant

Marion Cotillard à l'avant-première de

© Peters Doug/PA Photos, Abaca

Si de nombreuses personnes avouent verser une petite larme à la fin d'un film dramatique, la chose est plus rare à la fin d'une comédie, surtout quand il s'agit d'une production de Judd Apatow. Cela n'arrête cependant pas Marion Cotillard, qui a récemment confié pleurer à chaque fois qu'elle regarde "Frangins malgré eux".

Sortie en 2008, cette comédie d'Adam McKay raconte l'histoire de Brennan et Dale, respectivement incarnés par les hilarants Will Ferrell et John C. Reilly, qui se retrouvent frères malgré eux quand la mère du premier épouse le père du second. Ces deux quarantenaires immatures qui se détestent vont pourtant devoir faire équipe quand leurs parents décident de les chasser de la maison familiale.

Comme l'on peut s'y attendre avec un tel pitch, "Frangins malgré eux" est un long-métrage où les gags s'enchaînent à vitesse grand V. Complètement loufoque, le film permet de passer un bon moment de rigolade grâce à des acteurs irrésistibles et se termine sur un moment d'émotion qui fait toujours craquer la plus hollywoodienne des actrices françaises, Marion Cotillard.

Une étonnante révélation

"Cela peut paraître bizarre mais je pleure toujours à la fin de 'Frangins malgré eux'. J'ai vu le film dix fois et cela me touche toujours autant à la fin, quand Will Ferrell chante. On ne s'attend pas à pleurer devant ce type de comédie, mais moi je ne peux pas m'en empêcher", a affirmé l'actrice lors d'une interview avec le magazine américain W.

Notons que la comédienne oscarisée de "La Môme" a elle-même participé à un long-métrage du duo McKay/Ferrell, "Légendes Vivantes". Elle y apparaît en caméo dans une scène d'anthologie comptant également Kanye West, Will Smith, Liam Neeson, Harrison Ford, Sacha Baron Cohen ou encore Jim Carrey. Ce dernier incarne un Canadien tandis que Cotillard est une Québécoise, tous deux ayant la particularité d'être extrêmement polis tout en débitant les horreurs qu'ils comptent faire subir à leurs ennemis.

publié le 5 janvier, Marine de Guilhermier

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