Actus cinéma

Leïla Bekhti : pourquoi elle ne tourne pas avec son mari Tahar Rahim

Leïla Bekhti au photocall du téléfilm

© Patrick Bernard, BestImage

À l'affiche du "Grand Bain" depuis le 24 octobre 2018, Leïla Bekhti a accordé un entretien au magazine Grazia dans lequel elle est revenue sur ses projets en cours et sur la raison pour laquelle elle n'a pas donné la réplique à son acteur de mari, Tahar Rahim, depuis "Un prophète".

Celle qui rêve de "jouer la folie" vient de terminer le tournage de "J'irai où tu iras", la première réalisation en solo de Géraldine Nakache, près de dix ans après avoir partagé l'affiche de "Tout ce qui brille" avec elle. "Ça a propulsé nos carrières", se souvient Leïla Bekhti, révélant à Grazia que, à l'époque, "(elles) ne s'attendai(en)t pas à ce que le film soit un tel succès". Car adolescente, Leïla Bekhti ne s'imaginait pas vraiment actrice : "Je ne réalisais pas suffisamment ma passion du jeu, c'était un truc qui me faisait du bien, mais je l'avais pris en option au lycée (...) pour avoir plus de points au bac."

"Tahar, je le vois déjà sur mon canapé"

En couple avec Tahar Rahim, elle a donné naissance il y a 15 mois à leur premier enfant, Souleymane. Et s'ils se soutiennent mutuellement dans leurs différents projets, ils restent très pudiques à propos de leur relation : "Il a son histoire de cinéma et j'ai la mienne. On nous propose des films ensemble, mais si c'est juste histoire d'avoir Tahar et Leïla dans le même film, c'est une mauvaise raison. Et puis Tahar, je le vois déjà sur mon canapé, je n'ai pas besoin de passer du temps avec lui aussi sur les plateaux !"

Le 7 novembre 2018, Leïla Bekhti sera à l'affiche d'"Un homme pressé", où elle joue le rôle de l'orthophoniste de Fabrice Luchini. "J'ai trouvé ça génial !", lance-t-elle, et d'expliquer : "J'ai aimé l'idée que j'avais 23 kilos en trop, et que mes soucis de poids n'étaient pas le sujet du film. Jeanne est un personnage secondaire. Et c'était un challenge pour moi, parce que, bien que secondaire, il fallait qu'elle existe aussi."

publié le 2 novembre, Solène Filly

Liens commerciaux