Le Saut du diable : Philippe Bas a-t-il fait appel à une doublure ?
Après le succès d'audience du "Saut du diable", jeudi 17 juin 2021 sur TF1, les spectateurs se demandent si Philippe Bas a fait appel à une doublure pour certaines scènes risquées. Le jour de la diffusion, le principal intéressé donnait la réponse à Télé-Loisirs.
"Le Saut du diable" a tenu en haleine 6,11 millions de téléspectateurs amassés devant TF1. Le thriller était porté par un Philippe Bas en grande forme et avec les biceps à l'air. Cette musculature, qui n'y est pas pour rien dans la réunion des 30,5% de parts du marché de ce soir-là, était nécessaire à l'interprète d'un rôle aussi physique. Au cours du programme, le personnage de Paul Vilar, ancien officier des Forces Spéciales désormais reconverti dans la survie et les sports extrêmes, part en randonnée montagnarde avec sa fille avant qu'ils ne soient témoins d'un meurtre. Le duo est alors traqué par les criminels. Le comédien de "Profilage" a révélé que son corps avait été un véritable "outil de travail" pour tourner cette chasse à l'homme dynamique.
"Attention, je ne suis pas Tom Cruise !"
Inspiré par "l'aventurier Mike Horn", l'acteur n'a pas été effrayé à l'idée de s'impliquer physiquement : "Courir et me battre, ce n'est pas trop un problème, j'avais l'habitude de ça dans mes précédentes séries. J'ai surtout dû travailler sur la notion du vide. J'ai pu me rapprocher de la brigade d'intervention de Paris et m'initier à la descente en rappel dans tous les sens." Pas de doublure pour Philippe Bas, même lors des séquences les plus périlleuses : "J'ai escaladé certains monuments à mains nues, puis je les ai descendus en rappel. C'est sympa de mouiller le maillot et, grâce à cet entraînement, j'ai pu faire le téléfilm sans recourir à une doublure. Mais attention, je ne suis pas Tom Cruise ! Je ne suis pas encore capable de piloter un hélicoptère !"
publié le 18 juin, Elodie Falco, Jellyfish France
