Actus cinéma

La série Loki cite les Télétubbies comme source d'inspiration principale

Le Marvel Cinematic Universe (MCU) vend la série "Loki" comme l'un des projets les plus loufoques de son écurie de super-héros. Ce ne sont pas les dernières révélations de la réalisatrice Kate Herron, faites dimanche 16 mai 2021 à Entertainment Weekly, qui vont contredire le studio.

Directement inspiré du maître des illusions de la mythologie nordique, Loki est un dieu asgardien apparu dès 1962 dans les comics. Ce super-vilain, qui mène notamment la vie dure à son demi-frère Thor, s'échappe par le continuum temporel à l'aide du Cube Cosmique dans le long-métrage "Avengers : Endgame" (2019) des frères Russo. Sa fuite éveille la curiosité de la Time Variance Authority (TVA), la police temporelle, qui ne compte pas le laisser s'en tirer si facilement. Les aventures de l'espiègle divinité vont se poursuivre prochainement dans divers temporalités via une série entièrement dédiée à son nom. Avant sa sortie, prévue sur Disney+ pour le 9 juin, la réalisatrice Kate Herron a été invitée à donner ses sources d'inspiration pour cette création. Son étrange réponse doit bien plaire à l'interprète principal, le déluré Tom Hiddleston.

Inspirations : "Blade Runner", "Mad Men" et ... "Les Télétubbies"

"Alors que l'équipe de production ne peut révéler aucune des époques qui seront visitées dans le programme, ils ont partagé leurs inspirations principales pour le confectionner. Elles incluent 'Blade Runner', 'Mad Men', et plus curieusement, 'Les Télétubbies'", a relaté Entertainment Weekly. Intrigués par ce dernier modèle, les journalistes ont questionné en profondeur Kate Herron, qui est restée de marbre : "À propos de ce dernier choix assumé, Kate Herron a simplement commenté : 'Vous devez attendre jusqu'à fin juin.'" Si, d'une certaine manière, les Télétubbies sont bien des héros de la pop-culture enfantine, avec leurs couleurs distinctes et leur langage charabia qui ont accompagné tant de petits dès 1997, les citer comme référence ne manque pas de faire sourire les spectateurs.

publié le 18 mai, Elodie Falco, Jellyfish France

Liens commerciaux