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Julia Roberts, "une petite morveuse égoïste" à ses débuts

Alors qu'elle fait la Une du numéro de novembre 2017 de Harper's Bazaar, la star de "Pretty Woman" s'est confiée sur ses débuts à Hollywood, avouant qu'elle était loin d'être humble à cette époque.

"J'étais ma priorité, une petite morveuse égoïste qui s'agitait à faire des films." Julia Roberts n'y va pas par quatre chemins quand elle évoque ses jeunes années dans l'industrie du cinéma. Celle qui soufflera sa cinquantième bougie le 28 octobre prochain est également revenue dans les colonnes du magazine de mode sur la façon dont elle choisissait ses rôles au début de sa carrière.

Quand elle trouvait qu'on lui proposait "de la merde"

"Je n'ai pas travaillé pendant quelques années dans ma vingtaine parce qu'on me proposait des scénarios et je pensais : 'Est-ce que c'est moi ou est-ce que tout est de la merde ?'", avoue-t-elle. Et de poursuivre : "Je me disais que je pouvais payer mon loyer et attendre que quelque chose de bon arrive. J'avais déjà été gâtée avec des super rôles, donc je me disais : 'Pourquoi faire ce rôle avec cette personne-là, alors que je viens de faire ce rôle avec ces personnes-là !'" Mais Julia Roberts n'est désormais plus la jeune femme pourrie gâtée qu'elle était à l'époque. Ce qui a tout changé pour elle ? Sa rencontre avec son mari, Daniel Moder, comme elle l'assure à Harper's Bazaar.

Si aujourd'hui elle "atten(d) de voir ce qui vient à elle, en opposition à chercher des rôles", Julia Roberts pourra être vue en décembre dans le drame familial "Wonder", aux côtés de la révélation de "Room", Jacob Tremblay et Owen Wilson.

publié le 4 octobre, Marine de Guilhermier

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