Jake Gyllenhaal plonge dans l'univers de Tom Clancy
© Marechal Aurore, Abaca
Et un projet de plus pour Jake Gyllenhaal ! Après avoir signé la semaine dernière pour tenir la tête d'affiche du thriller The Son, adapté de Jo Nesbo et pour lequel il retrouvera Denis Villeneuve, l'acteur s'apprête désormais à plonger dans l'univers de Tom Clancy en rejoignant le casting de The Division.
L'agenda de Jake Gyllenhaal commence à être bien rempli. L'acteur semble néanmoins encore disposer de suffisament de temps pour y ajouter une nouvelle ligne, alors que Variety nous annonce qu'il tiendra la vedette du film The Division, adapté du célèbre jeu vidéo éponyme d'Ubisoft, lui-même inspiré de l'oeuvre du romancier Tom Clancy. Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que Gyllenhaal s'essayera à un long-métrage issu d'une franchise vidéoludique, lui qui avait déjà tenté l'expérience en 2010 dans le Prince of Persia de Mike Newell. On lui souhaite toutefois davantage de réussite cette fois-ci.
Le comédien, très impliqué sur le projet, officiera d'ailleurs également comme producteur du film. Le studio est actuellement en quête d'un scénariste. Pour les non-initiés, le jeu vidéo en question situe son action dans un New York devenu dystopique à la suite d'une épidémie de variole. Le joueur, placé dans la peau d'un agent de la Division, a pour missions d'aider à rétablir les opérations avortées à Manhattan, d'enquêter sur la nature de la pandémie, et de lutter contre la criminalité qui en a découlé.
Si l'arrivée d'un acteur de la trempe de Jake Gyllenhaal confère un certain intérêt au projet, Ubisoft chercherait malgré tout à s'entourer d'un autre nom d'envergure au générique avant de proposer cette adaptation aux studios. La firme semble en tout cas garder sa ligne de conduite en transposant à l'écran ses franchises vidéoludiques les plus lucratives. On attend en effet déjà les adaptations d'Assassin's Creed avec Michael Fassbender - dont la sortie est prévue chez nous pour le 21 décembre prochain - et de Splinter Cell avec Tom Hardy.
publié le 2 juin, Pauline Julien
