Boule & Bill 2 : tournage au printemps avec Marina Foïs et Franck Dubosc
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Trois ans après le joli succès en salles de l'adaptation de Boule & Bill, les deux héros roux les plus célèbres de la bande dessinée s'apprêtent à revenir sur grand écran. Une suite au film d'Alexandre Charlot et Franck Magnier est en effet prévue pour bientôt, avec quelques changements notables au programme.
Si Franck Dubosc et Marina Foïs camperont pour la deuxième fois les déjantés parents de Boule, le jeune protagoniste du premier long-métrage, Charles Crombez, désormais trop âgé pour le rôle, cèdera en revanche sa place à un autre comédien débutant. Nos confrères d'Allociné relayent en effet une annonce de casting belge recherchant "un garçon roux entre 9 et 11 ans pour le rôle de Boule". La production est également en quête de trois autres jeunes acteurs, tous âgés de 9 à 11 ans, pour les rôles de Pouf, d'une "jolie fille", et du "méchant". Mais cette suite pourra quoi qu'il en soit compter sur Franck Dubosc et Marina Foïs pour attirer une nouvelle fois le public en salles.
Derrière la caméra, Alexandre Charlot et Franck Magnier passeront le flambeau à Pascal Bourdiaux, à qui l'on doit une autre comédie à succès avec Franck Dubosc, Fiston, qui avait conquis près de 2 millions de spectateurs en 2014. Boule & Bill avait connu un plébiscite similaire l'année précédente. Nul doute dès lors que petits et grands se presseront encore une fois pour découvrir la prochaine histoire des personnages créés par Jean Roba en 1959. Aucun détail n'a pour le moment été donné à propos de cette nouvelle intrigue. On peut toutefois parier que le célèbre garçon et son cocker nous en fasse voir de toutes les couleurs avec cette deuxième aventure !
Si aucune date de sortie n'a à l'heure actuelle été annoncée pour ce Boule & Bill 2, le tournage du film se déroulera de fin avril à fin juin 2016 en Belgique. On peut donc tabler sur une arrivée en salles pour les fêtes de fin d'année au mieux, ou pour les vacances de février 2017, comme ça avait déjà été le cas il y a trois ans.
publié le 21 janvier, Pauline Julien
