Actus cinéma

Audrey Lamy : sa soeur lui a donné envie de devenir actrice

En couverture du magazine Psychologies, en kiosque depuis le 21 février 2019, Audrey Lamy s'est confiée sur sa relation avec sa grande soeur, Alexandra, et ses débuts en tant qu'actrice.

Le 13 mars prochain, Audrey Lamy sera de retour dans les salles obscure avec "Rebelles", film dans lequel elle donne la réplique à Cécile de France et Yolande Moreau. Après avoir formé un couple avec Loup-Denis Elion dans "Scènes de ménages" pendant près de 10 ans, sa carrière décolle. Désormais "heureuse", notamment parce qu'on lui propose des rôles très différents les uns des autres, elle indique au magazine Psychologies que c'est grâce à sa soeur, Alexandra, qu'elle a osé tenter sa chance en tant qu'actrice.

"J'ai ressenti un soulagement"

"(D)u fait de ses 10 ans de plus, elle a toujours été ma soeur, ma complice, mon amie, ma deuxième mère", explique-t-elle. Et d'ajouter : "Elle m'a montré que ce métier nous était accessible. Dès les premiers cours de théâtre, j'ai ressenti un soulagement à me glisser dans la peau d'autres que moi."

D'ailleurs, c'est avec sa grande soeur qu'elle a fait ses premiers pas sur les planches. Interviewée dans l'émission Boomerang au mois de janvier dernier, Audrey Lamy s'est souvenue de toutes ces fois où elle a accompagné Alexandra au conservatoire de Nîmes, jouant même le rôle de son fils : "Mes parents ne voulaient surtout pas qu'elle fasse du théâtre, et comme on a 10 ans d'écart, elle m'a énormément gardé les mercredis, les samedis, et donc je l'accompagnais. J'étais dans les coulisses et après j'ai joué avec elle et c'était assez dingue."

Et de conclure : "On a toujours été très complices, effectivement, elle m'a donné cette envie là." Mais pas question pour Audrey de se servir de la notoriété de sa soeur pour réussir dans ce milieu. À Psychologies, elle précise : "Au Conservatoire, j'ai toujours nié qu'elle était ma soeur. Je voulais être apprécié pour mon jeu, ne pas être comparée, ne pas être soupçonnée de piston..."

publié le 27 février, Solène Filly

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