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30 ans de prison pour Dark Vador ! Un procès a condamné le méchant de Star Wars

Au Chili, un procès fictif visant à familiariser les citoyens avec le monde la justice s'est intéressé au cas de Dark Vador, illustre méchant de la saga Star Wars.

Des crimes, le plus célèbre méchant de la saga Star Wars n'a cessé d'en commettre au cinéma. Depuis ses tout premiers pas sur la voie du Côté Obscur dans La Revanche des Sith jusqu'à son dernier souffle dans Le Retour du Jedi, Dark Vador a assassiné, torturé, exterminé et persécuté dans toute la galaxie.

Mais de quelle peine le seigneur Sith écoperait-il exactement s'il était jugé par un véritable tribunal ? Au Chili, dans le cadre de la Journée du patrimoine visant à offrir aux citoyens une meilleure connaissance du monde de la justice, des magistrats se sont posé la question, ainsi que l'ont récemment relaté nos confrères de .

A Valparaiso, ce 28 mai, un procès fictif a donc été organisé pour juger Dark Vador. Précisons que ce dernier n'a ici été mis en cause "que" pour avoir tranché la main de son fils Luke Skywalker, dans L'Empire contre-attaque. Ses actes antérieurs n'ont pas été pris en compte durant le procès, ce qui est plutôt heureux pour lui étant donné que pour rappel, il avait par exemple massacré des dizaines d'apprentis Jedi et même fait exploser une planète entière.

Toujours selon , pour avoir coupé la main de son fils, le tribunal de Valparaiso a donc condamné Vador à "rester congelé pendant 30 ans dans la carbonite", précisant par ailleurs qu'il aurait l'"interdiction d'approcher pendant 30 ans la victime, Luke, à une distance d'au moins trois planètes", et l'interdiction définitive d'utiliser la Force obscure ainsi que son sabre laser.

Au cours du procès, le méchant de Star Wars a même bénéficié d'un avocat - le dénommé Juan Carlos Manriquez - qui a plaidé en sa faveur en rappelant que Vador était "un être humain avec des droits", qu'il restait "un homme" et "un père" même s'il était presque devenu "une machine".

Que pensez-vous du résultat de ce procès fictif ?

(Re)découvrez notre vidéo dédiée à Dark Vador...

publié le 4 juin, Thomas Imbert, Allociné

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