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3 comédies françaises à revoir sans modération pour garder le sourire

En cette période de confinement, quoi de mieux qu'une bonne comédie française pour garder le sourire ? En voici trois à (re)voir sans modération.

"Le Grand Restaurant" (1966)

Imaginé par Louis de Funès à la fin des années 1950, "Le Grand Restaurant" est sorti en 1966. Si les critiques sont mitigées, le film attire 3,8 millions de spectateurs. Ce n'est toutefois rien comparé à "La Grande Vadrouille" de Gérard Oury, sorti la même année et ayant réalisé 17 millions d'entrées. Ce n'est pas pour autant que le premier film de Jacques Besnard n'est pas à la hauteur, au contraire. Le long-métrage raconte les mésaventures de M. Septime, patron d'un restaurant parisien placé sur les Champs-Elysées. Tyrannique, il voit sa vie bouleversée lorsqu'un chef d'État d'Amérique du Sud se fait enlever dans son restaurant et qu'il devient le parfait suspect.

"Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre" (2002)

C'est l'une des comédies françaises les plus appréciées : "Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre" a réalisé 14 millions d'entrées au box-office, le plaçant ainsi à la première place des films de l'année. Entre Alain Chabat en réalisateur et en Jules César, Monica Belluci en Cléopâtre, Gérard Depardieu, Christian Clavier, Jamel Debbouze, Édouard Baer, Gérard Darmon et autres, le film a de quoi frôler la perfection en matière d'humour. Alors, s'il y a bien une comédie à voir pour se remonter le moral, c'est sans aucun doute celle-ci.

"Les Trois Frères" (1995)

Les sketchs des Inconnus ont marqué plusieurs générations et ce n'est pas Stéphanie de Monaco qui dira le contraire. Alors quand en 1995, ils sortent leur premier film "Les Trois Frères", les fans sont au rendez-vous, leur permettant d'enregistrer plus de six millions d'entrées. Le plus gros succès de l'année est réalisé par Didier Bourdon et Bernard Campan. Il met en scène trois demi-frères inconnus convoqués par un notaire lorsque leur mère décède. Le film a remporté le César de la meilleure première oeuvre en 1996.

publié le 25 mars, Mégane Bellée

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