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Vincent Cassel : retour sur 10 films clés de sa carrière

Le 23 octobre 2019, Vincent Cassel est de retour dans les salles obscures avec "Hors Normes", film dont il partage l'affiche avec Reda Kateb. L'occasion de revenir sur 10 longs-métrages qui ont marqué sa carrière.

  • © DR, Carole Bethuel 1/10

    "Hors Normes" d'Eric Toledano et Olivier Nakache (2019)

    Dans ce long-métrage d'Eric Toledano et Olivier Nakache (en salle le 23 octobre), Vincent Cassel incarne un rôle très fort. Celui de Bruno, le responsable d'une association pour jeunes autistes. Tout comme Malik (Reda Kateb), il se bat quotidiennement pour leur garantir un avenir meilleur, se heurtant, par la même occasion, à l'administration des Affaires sociales qui n'approuvent pas leurs méthodes. Un long-métrage qui a d'ores et déjà été récompensé du prix du Public au Festival international du film de Saint-Sébastien.

    Solène Filly

  • © DR, Roger Arpajou / Mandarin Production / Gaumont 2/10

    "L'Empereur de Paris" de Jean-François Richet (2018)

    Vincent Cassel retrouve [PERSON=265322]Jean-François Richet[/PERSON], l'un de ses réalisateurs fétiches - ils ont tourné ensemble à 5 reprises -, en 2018 pour "[MOVIE=258914]L'Empereur de Paris[/MOVIE]", film consacré au célèbre bagnard devenu inspecteur de police, Vidocq. Un long-métrage ancré dans l'histoire, donc, qui comporte aussi bon nombre de scènes d'action. Dans le dossier de presse, l'acteur explique avoir fait des recherches afin que les combats soient innovants : "[ITALIC]J'ai découvert le Systema, un art martial Russe dont la particularité est d'être peu démonstratif, mais efficace, et surtout... jamais vu au cinéma.[/ITALIC]"

    Solène Filly

  • © DR, Shayne Laverdière, Sons of Manual 3/10

    "Juste la fin du monde" de Xavier Dolan (2016)

    En 2016, on le retrouve au casting 5 étoiles de "[MOVIE=237510]Juste la fin du monde[/MOVIE]" de Xavier Dolan. Dans la peau du colérique Antoine, Vincent Cassel donne la réplique à [PERSON=61]Nathalie Baye[/PERSON], qui incarne sa mère, [PERSON=1651]Léa Seydoux[/PERSON], sa petite soeur, Marion Cotillard, sa femme, et Gaspard Ulliel, son petit frère sur le point de mourir et autour duquel s'articule le film. Présenté à Cannes la même année, "Juste la fin du monde" remporte le Grand Prix et vaut à Cassel une nouvelle nomination aux César et le Prix Écrans canadiens, l'une des plus prestigieuses récompenses du pays.

    Solène Filly

  • © DR, Twentieth Century Fox France 4/10

    "Black Swan" de Darren Aronofsky (2011)

    C'est dans la peau d'un chorégraphe tyrannique que Vincent Cassel rejoint "[MOVIE=125828]Black Swan[/MOVIE]" de [PERSON=1781]Darren Aronofsky[/PERSON] en 2011. Un rôle qu'il prend beaucoup de plaisir à jouer en raison de la danse, mais aussi de ses partenaires à l'écran. Dans le dossier de presse, il indique : "[ITALIC]Je ne pouvais pas refuser, d'abord parce que j'ai toujours voulu travailler avec Darren, et ensuite parce qu'il y avait [PERSON=762]Natalie[/PERSON] (Portman, ndlr), une actrice que j'admire depuis des années. (...) Ensuite, j'ai appris que Mila Kunis et Winona Ryder allaient aussi jouer dans le film, et que j'allais me retrouver au milieu de toutes ces femmes sublimes. Comment aurais-je pu refuser ?[/ITALIC]"

    Solène Filly

  • © DR, La Petite Reine / Roger Arpajou 5/10

    "L'Instinct de mort" et "L'Ennemi public n°1" de Jean-François Richet (2008)

    En 2009, Vincent Cassel obtient le César du Meilleur acteur grâce à son interprétation dans le diptyque consacré à Mesrine, qu'il incarne, composé de "[MOVIE=111809]L'Instinct de mort[/MOVIE]" et "[MOVIE=51603]L'Ennemi public n°1[/MOVIE]". Pourtant, comme il le confiait à l'époque dans le dossier de presse, il avait bien failli refuser ce projet : "[ITALIC]Faire un film sur un héros qui n'en est pas un était intéressant, mais à condition de le traiter comme il se doit. (...) C'est Abdel Raouf Dafri (le co-scénariste, ndlr) qui m'a convaincu d'un scénario en deux parties. Il avait réussi à trouver le ton qui dévoilait toute la noirceur et les paradoxes du personnage. C'est là que j'ai donné mon accord pour deux films.[/ITALIC]"[ITALIC][/ITALIC]

    Solène Filly

  • © DR, Warner Bros. France 6/10

    "Ocean's Twelve" de Steven Soderbergh (2004)

    C'est son rôle dans la trilogie Ocean aux côtés de [PERSON=67]George Clooney[/PERSON], [PERSON=5]Brad Pitt[/PERSON] et Matt Damon, qui lui permet de véritablement s'imposer comme une valeur sûre à Hollywood. Il incarne François Toulour dans "[MOVIE=50581]Ocean's Twelve[/MOVIE]" et sa suite, "Ocean's Thirteen", un voleur français surnommé le Renard de la nuit qui donne le nom du gang de Danny Ocean à Terry Benedict (Andy Garcia), le propriétaire du casino que ces derniers ont braqué.

    Solène Filly

  • © DR, Carlotta Films 7/10

    "Irréversible" de Gaspar Noé (2002)

    C'est sur le tournage de "L'Appartement" que Vincent Cassel rencontre sa (désormais ex) femme [PERSON=307]Monica Bellucci[/PERSON]. Les deux amants se sont ensuite régulièrement retrouvés à l'écran, notamment dans "[MOVIE=41769]Irréversible[/MOVIE]" de [PERSON=276670]Gaspar Noé[/PERSON]. Un film qui fait scandale lors de sa sortie à cause de la scène de viol de l'actrice qui dure 9 minutes. Cassel, qui y incarne son compagnon, décide alors, avec l'aide de plusieurs amis, de retrouver le violeur et de la venger.

    Solène Filly

  • © DR, Pathé Distribution 8/10

    "Sur mes lèvres" de Jacques Audiard (2001)

    Pour [PERSON=11212]Jacques Audiard[/PERSON], en 2001, l'acteur incarne Paul Angéli, un ancien détenu qui tente de se réinsérer en intégrant une agence immobilière. Là, il fait la connaissance de Carla ([PERSON=812]Emmanuelle Devos[/PERSON]), secrétaire mal-payée de l'agence, et souffre-douleur de ses collègues, qu'il doit aider dans ses tâches du quotidien. Très vite, un lien va se créer entre eux. "[MOVIE=29044]Sur mes lèvres[/MOVIE]" vaut à Cassel une nouvelle nomination au César du Meilleur acteur.

    Solène Filly

  • © DR, Gaumont Buena Vista International (GBVI) 9/10

    "Les Rivières pourpres" de Mathieu Kassovitz (2000)

    Avec "[MOVIE=1325]Les Rivières pourpres[/MOVIE]" en 2000, Vincent Cassel retrouve [PERSON=1049]Mathieu Kassovitz[/PERSON]. Dans cette adaptation du roman de Jean-Christophe Grangé, le cinéaste lui donne comme partenaire de jeu [PERSON=151]Jean Reno[/PERSON], et offre aux deux acteurs les rôles principaux de policiers. Les chemins des deux hommes vont se croiser lorsque leurs enquêtes respectives les menent à la même personne. Ensemble, ils vont alors tenter d'élucider le mystère qui entoure ces affaires, alors que les meurtres se multiplient. Fait suffisament rare pour être souligné, l'auteur du roman était ravi du casting, indiquant dans le dossier de presse avoir été "[ITALIC]aux anges[/ITALIC]" en apprenant la participation de Vincent Cassel.

    Solène Filly

  • © DR, Mars Distribution 10/10

    "La Haine" de Mathieu Kassovitz (1995)

    Si Vincent Cassel fait ses débuts au cinéma dans "[MOVIE=30221]Les Clés du Paradis[/MOVIE]" en 1991, c'est quatre ans plus tard, avec "[MOVIE=12551]La Haine[/MOVIE]", de Mathieu Kassovitz, que son talent d'acteur est reconnu et par le public, et par la profession. Ce rôle de banlieusard aux airs de gangster, qui menace de tuer un flic sans jamais passer à l'acte, lui vaut d'être doublement nommé aux César, en tant que Meilleur acteur et Meilleur espoir masculin.

    Solène Filly

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