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Thierry Lhermitte : 10 rôles qui en font un roi de la comédie

Avant le théâtre et le cinéma, Thierry Lhermitte était un amoureux des chiffres et suivait des cours d'économie au lycée Louis Pasteur à Neuilly-sur-Seine. Mais sa rencontre avec Michel Blanc, Christian Clavier et Gérard Jugnot en 1967 va quelque peu changer ses plans... Il laisse bien loin les mathématiques pour l'amour des mots en suivant des cours d'art dramatique, avant de créer avec ses acolytes la troupe du Splendid dans laquelle feront également partie Josiane Balasko, Marie-Anne Chazel et Bruno Moynot. La carrière du comédien est lancée et explose en 1970 grâce à son son rôle culte de playboy séducteur dans la trilogie Les Bronzés. Véritable AS de la comédie, Thierry Lhermitte ne cesse de faire rire les cinéphiles. À l'aube de ses 70 ans, retour sur 10 rôles clés qui le prouvent.

  • © Sipa, LILO 1/10

    "Un Indien dans la ville" d'Hervé Palud (1994)

    Dans un "Indien dans la ville", Thierry Lhermitte y joue Stephen, qui découvre les joies de la paternité (ou pas). Un fils pas comme les autres, puisque c'est un Indien prénommé Mimi-Siku né dans une tribu d'Amazonie. Réalisée par Hervé Palud, la comédie qui compte dans son casting Patrick Timsit et Miou-Miou fait un carton et enregistre 7,9 millions d'entrées dans les salles. Thierry Lhermitte et Ludwig Briand dans "Un Indien dans la ville" en 1994.

    Mathilde Dandeu, Webedia

  • © Sipa, LECARPENTIER 2/10

    "Le Dîner de cons" de Francis Veber (1998)

    C'est l'une des comédies les plus culte dans laquelle a joué Thierry Lhermitte. Adaptée de la pièce de théâtre éponyme de Francis Veber, Thierry Lhermitte y incarne Pierre Brochant. L'homme d'un certain rang s'amuse tous les mercredis avec ses amis à organiser un dîner où chacun doit amener un con. Celui qui trouve LA perle devient vainqueur. Ce soir-là, en invitant François Pignon (Jacques Villeret), comptable au ministère des Finances et passionné de modèles réduits en allumettes, Pierre Brochant est persuadé de gagner. Malheureusement, la soirée ne va pas se dérouler comme prévu, enchaînant les catastrophes déclenchées par Pignon en personne.[ITALIC] Thierry Lhermitte et Jacques Villeret à l'avant-première du film "Effroyables Jardins" à Paris, le 26 mars 2003.[/ITALIC]

    Mathilde Dandeu, Webedia

  • © Sipa, NANA PRODUCTIONS 3/10

    "Les Ripoux" de Claude Zidi (1984)

    En 1984, Thierry Lhermitte décroche le rôle de François, flic incorruptible dans "Les Ripoux". Le film fut un tel phénomène que le mot Ripou fait son entrée dans le dictionnaire dont le pluriel a été validé avec un X. Son succès lui vaut aussi le César du meilleur film avec une suite réalisée cinq ans plus tard intitulée "Ripoux contre ripoux", toujours réalisée par Claude Zidi. [ITALIC]Thierry Lhermitte et Philippe Noiret dans "Les Ripoux" en 1984.[/ITALIC]

    Mathilde Dandeu, Webedia

  • © BestImage, Dominique Charriau / Pool 4/10

    "Le Père Noël est une ordure" de Jean-Marie Poiré (1982)

    Si on rit devant "Le Père Noël est une ordure" avec ses nombreuses répliques culte, le film offre une mise en lumière sur les différences sociales et la prétention des riches sur les plus pauvres, notamment à travers le personnage de Thierry Lhermitte, Pierre Mortez. Un film dont l'acteur a écrit le scénario et sa mise en scène pour la version théâtrale.[ITALIC] Josiane Balasko, Michel Blanc, Thierry Lhermitte, Marie-Anne Chazel sur scène lors de la 46e cérémonie des César à l'Olympia à Paris, le 12 mars 2021, reçoivent un César spécial pour la troupe du Splendid.[/ITALIC]

    Mathilde Dandeu, Webedia

  • © Sipa, /SIPA 5/10

    "Les Bronzés font du ski" de Patrice Leconte (1979)

    Après "Les Bronzés" en 1978, Patrice Leconte réunit au grand complet la troupe du Splendid dans "Les Bronzés font du ski" en 1979. Un film qui ne vieillit pas, même 43 ans après... Partir à la neige, c'est toujours la même chose : on mange des crêpes, des fondues, on tombe, sans oublier la queue interminable au télésiège. Un film qui traverse les années, connu de toutes les générations, sans oublier les répliques culte : "[ITALIC]Je sais pas ce qui me retient de te casser la gueule ! La trouille non ? Ouais, ça doit être ça...[/ITALIC]" (Michel Blanc et Thierry Lhermitte, alias Popeye).[ITALIC] Christian Clavier, Marie-Anne Chazel, Josiane Balasko et Gérard Jugnot dans "Les Bronzés font du ski" en 1979.[/ITALIC]

    Mathilde Dandeu, Webedia

  • © BestImage, JLPPA 6/10

    "La Totale" de Claude Zidi (1991)

    En 1991, il retrouve encore une fois Claude Zidi pour "La Totale". Dans cette comédie parodique d'espionnage, il joue aux côtés de Miou-Miou et d'Eddy Mitchell. Le film fait un carton en France et aura droit à un remake américain, "True Lies", réalisé par le grand James Cameron (rien que ça), avec Arnold Schwarzenegger. [ITALIC]Thierry Lhermitte lors de l'enregistrement de l'émission "Vivement dimanche" à Paris, le 29 février 2012.[/ITALIC]

    Mathilde Dandeu, Webedia

  • © Sipa, NANA PRODUCTIONS 7/10

    "Fucking Fernand" de Gérard Mordillat (1987)

    Dans "Fucking Fernand", Thierry Lhermitte offre sa prestation la plus loufoque. Il y incarne un aveugle durant La Seconde Guerre mondiale. Toujours vierge, il veut absolument trouver une femme pour connaître les plaisirs de l'amour. Pour ce faire, il devra compter sur l'aide d'André Binet (Jean Yanne), ancien boucher et criminel en cavale. [ITALIC]Thierry Lhermitte dans un extrait du film "Fucking Fernand" de Gérard Mordillat en 1987. [/ITALIC]

    Mathilde Dandeu, Webedia

  • © BestImage, VANSTEENKISTE STEPHANE 8/10

    "Le divorce" de James Ivory (2003)

    Thierry Lhermitte a eu droit à son moment de gloire hollywoodien dans le film de James Ivory : "Le divorce". Aux côtés de Naomi Watts, de Kate Hudson et de Glenn Close, il y joue un homme prétentieux : Edgard de Persan, dont Isabel (Kate Hudson) tombera amoureuse, sans savoir qu'il est l'oncle du futur ex-mari de sa soeur, Roxy (Naomi Watts). [ITALIC]Thierry Lhermitte à la conférence de presse pour le film "Nos Femmes" à l'hôtel Hermitage à Lille, le 21 avril 2015.[/ITALIC]

    Mathilde Dandeu, Webedia

  • © BestImage, AGENCE 9/10

    "Nuit d'ivresse" de Bernard Nauer (1986)

    En 1986, Thierry Lhermitte rejoint sa vieille amie du Splendid, Josiane Balasko, dans "Nuit d'Ivresse". Il assure la production du film tout en interprétant le rôle principal. Toutefois, dans l'oeuvre originale écrite pour le théâtre, c'est Michel Blanc qui jouait le personnage sur les planches. Le film raconte l'histoire de Jacques Belin, animateur d'un jeu télévisé à succès, qui attend sa fiancée dans un bar de la Gare de l'Est le soir du 31 décembre. Il y rencontre Frède, une femme qui sort de prison, venue prendre un train pour Metz. Tout les oppose et pourtant, cette nuit-là un peu particulière va les rapprocher. [ITALIC]Thierry Lhermitte et Josiane Balasko au Festival de l'Alpe d'Huez, le 19 janvier 2005.[/ITALIC]

    Mathilde Dandeu, Webedia

  • © BestImage, Bruno Bebert 10/10

    "Joyeuse retraite" de Fabrice Bracq (2020)

    Après "Le Placard" et "Tango", Thierry Lhermitte retrouve une troisième fois Michèle Laroque sur le plateau de "Joyeuse retraite". Le film raconte l'histoire de Philippe (Thierry Lhermitte) et Marilou (Michèle Laroque) qui, enfin à la retraite, s'apprêtent à réaliser leur rêve : partir vivre sous le soleil du Portugal. Ils pensaient se reposer, mais ça c'était avant que leur famille se mêle de ce voyage... Après avoir conquis le public et la critique, les acteurs loins de leur retraite ont remis le couvert pour un deuxième volet sorti en 2022. [ITALIC]Thierry Lhermitte à la soirée de la 4ème édition du festival Cinéroman à Nice au cinéma Pathé Gare du Sud, le 6 octobre 2022.[/ITALIC]

    Mathilde Dandeu, Webedia

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