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10 papas déjantés du cinéma

Inventeurs, génies du mal ou encore aventuriers... Ces papas du grand écran ont tous un petit côté fantasque qui les ont fait entrer dans l'histoire du cinéma. À l'occasion de la Fête des pères, voici 10 performances de pères décalés à (re)découvrir.

  • © Sipa, WEBER ANITA 1/10

    Le plus inventif : Daniel Hillard dans "Mrs. Doubtfire" (1993)

    Certains pères sont prêts à tout pour leur progéniture. Lorsque Daniel Hillard ([PERSON=925]Robin Williams[/PERSON]), comédien de doublage, se retrouve au chômage et perd la garde de ses enfants, il décide de se faire passer pour une gouvernante anglaise, l'extravagante Mrs. Doudbtfire, auprès de son ex-femme ([PERSON=278071]Sally Field[/PERSON]). Après s'être fait engager, Daniel devra tout faire pour mener à bien sa tâche tout en dissipant les soupçons de sa famille et du nouveau compagnon de sa femme. [ITALIC]Robin Williams dans "Mrs. Doubtfire" de Chris Columbus (1993).[/ITALIC]

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © Sipa, VAUTHIER 2/10

    Les plus inattendus : Jacques, Pierre et Michel dans "Trois hommes et un couffin" (1985)

    Colocataires, Jacques, Pierre et Michel se retrouvent du jour au lendemain avec un mystérieux bébé sur les bras. Inexpérimentés et gaffeurs, les trois célibataires endurcis s'attachent peu à peu à l'enfant et, après moult péripéties - dont un incroyable quiproquo autour d'un trafic de drogue -, les trois hommes décident d'élever ensemble le bébé. Véritable succès à sa sortie avec plus de 10 millions d'entrées en salle, "Trois hommes et un couffin" donnera lieu à une suite en 2003 intitulée "18 ans après". Roland Giraud, Michel Boujenah et André Dussollier dans "Trois hommes et un couffin" de Coline Serreau (1985).

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © Sipa, /SIPA 3/10

    Le plus gothique : Gomez Addams dans "La Famille Addams" (1991)

    Comme tous les membres de la famille Addams, Gomez est un personnage un tantinet décalé et inquiétant. Aristocrate excentrique et fantasque au goût prononcé pour le macabre, Gomez n'en reste pas moins un époux et un père dévoué. Immortalisé par [PERSON=274171]Raul Julia[/PERSON] dans "[MOVIE=26230]La Famille Addams[/MOVIE]" et sa suite, "Les Valeurs de la famille Addams", le personnage sera l'un des grands rôles du comédien avant son décès en 1994. [ITALIC]Raul Julia dans "La Famille Addams" de Barry Sonnenfeld (1991).[/ITALIC]

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © Sipa, REX FEATURES 4/10

    Le plus scientifique : Wayne Szalinski dans "Chérie, j'ai rétréci les gosses" (1989)

    Gros succès en salle, "[MOVIE=5408]Chérie, j'ai rétréci les gosses[/MOVIE]" met en scène Wayne Szalinski ([PERSON=274975]Rick Moranis[/PERSON]), un inventeur excentrique qui met au point une machine révolutionnaire capable de rétrécir n'importe quel objet. Néanmoins, les choses tournent mal quand Amy et Nick, les deux enfants de Wayne, se retrouvent miniaturisés par erreur. Alors qu'ils tentent de survivre dans l'environnement hostile de la pelouse du jardin, Wayne va alors devoir trouver une solution pour rendre à ses enfants leur taille normale. [ITALIC]Marcia Strassman et Rick Moranis dans "Chérie, j'ai rétréci les gosses" de Joe Johnston (1989). [/ITALIC]

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © Sipa, NANA PRODUCTIONS 5/10

    Le plus made in Bouzolles : Jeff Tuche de la saga des "Tuche" (2011-2021)

    Facilement reconnaissable grâce à sa coupe mullet permanentée, Jeff Tuche est le patriarche un peu naïf mais néanmoins sympathique et dévoué de la famille originaire de Bouzolles. En 4 films, ce chômeur devenu gagnant de la loterie puis président de la République aura pour sûr un parcours hors norme tout en restant fidèle à lui-même. [ITALIC]Isabelle Nanty et Jean-Paul Rouve dans "Les Tuche" de Olivier Baroux (2011). [/ITALIC]

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © Sipa, LILO 6/10

    Le plus machiavélique : Le Dr. Evil dans la trilogie Austin Powers (1997-2002)

    Pas facile d'être un génie du mal et père en même temps. C'est en tout cas tout le dilemme du Dr. Evil ([PERSON=756]Mike Myers[/PERSON]) dans la trilogie Austin Powers. En plus de chercher des noises à l'espion le plus dragueur de sa Majesté, le machiavélique scientifique doit aussi perpétuellement composer avec son fils, Scott ([PERSON=271192]Seth Green[/PERSON]) ; un jeune homme qu'il juge trop gentil, et donc forcément indigne de reprendre ses affaires criminelles. [ITALIC]Mike Myers dans "Austin Powers dans Goldmember" de Jay Roach (2002).[/ITALIC]

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © Sipa, NANA PRODUCTIONS 7/10

    Le plus inquiétant : Jack Torrance dans "The Shinning" (1980)

    Parfois, avoir un papa "déjanté" n'a rien de drôle. En effet, quiconque a vu "[MOVIE=863]The Shining[/MOVIE]" s'accordera à dire que Jack Torrance ([PERSON=791]Jack Nicholson[/PERSON]) ne mériterait pas le prix de père de l'année. Écrivain alcoolique devenu gardien d'un hôtel reculé, Jack laisse peu à peu ses frustrations l'envahir jusqu'à poursuivre sa femme (Shelley Duvall) et son fils, Danny (Danny Lloyd), avec une hâche. Bref, pas idéal comme modèle parental. [ITALIC]Jack Nicholson et Danny Lloyd dans "The Shinning" de Stanley Kubrick (1980).[/ITALIC]

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © Sipa, NANA PRODUCTIONS 8/10

    Le plus chasseur de trésor : Charlie dans "King of California" (2007)

    Dans "[MOVIE=109346]King of California[/MOVIE]", [PERSON=823]Michael Douglas[/PERSON] incarne Charlie, un homme instable psychologiquement qui, à peine sorti d'asile psychiatrique, décide d'embarquer sa fille Miranda ([PERSON=1674]Evan Rachel Wood[/PERSON]) dans une chasse au trésor pour le moins décalée. Un film drôle et touchant sur une relation père-fille à la fois tendre et dysfonctionnelle.[ITALIC] Michael Douglas dans "King of California" de Michael Cahill (2007).[/ITALIC]

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © DR, Metropolitan FilmExport 9/10

    Le plus super-héroïque : Big Daddy dans "Kick-Ass" (2010)

    Parmi tous les personnages de "[MOVIE=138730]Kick-Ass[/MOVIE]", Damon Macready, aka Big Daddy, est sans doute l'un de ceux qui traduisent le mieux l'univers borderline du film. Vigilante costumé sympathique mais complètement sociopathe, Big Daddy forme un duo aussi puissant que dangereux avec Hit Girl... sa fille d'une dizaine d'années jouée par [PERSON=355641]Chloé Grace Moretz[/PERSON]. Un rôle en or pour [PERSON=459]Nicolas Cage[/PERSON] ! [ITALIC]Nicolas Cage dans "Kick-Ass" de Matthew Vaughn (2010), extrait de la bande annonce. [/ITALIC]

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © Sipa, /AP 10/10

    Le plus galactique : Dark Vador dans "Star Wars" (1977-1983)

    Au rayon des papas dysfonctionnels, on fera difficilement mieux que Dark Vador. Mi despote galactique, mi respirateur ambulant, il aura fait frémir les spectateurs du monde entier dans "[MOVIE=25801]Un Nouvel espoir[/MOVIE]". Trois ans plus tard, le sith masqué révèle le pot-au-rose trois ans plus tard avec son fameux [ITALIC]"Luke, je suis ton père"[/ITALIC] avant d'obtenir sa rédemption finale en se réconcilliant avec son fiston dans "[MOVIE=25803]Le Retour du jedi[/MOVIE]". [ITALIC]David Prowse dans "Star Wars, épisode V : L'Empire contre-attaque" de Irvin Kershner (1980). [/ITALIC]

    Marine Pallec, Jellyfish France

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